carpe diem.

Arrivée à Cape May : 13/12/2014

CARPE DIEM

Charlotte de Cambridge et Annabella Grimaldi

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J’étais au palais de Buckingham, je n’avais rien de spécialement prévue si ce n’est devoir liée des liens d’amitié avec celle qui sera ma future sœur. Je savais déjà que nous étions très différente elle et moi et il est vrai que je me demandais comment je pourrais m’entendre avec ce genre de fille. C’est là que me vint l’idée de lui faire comprendre et adopté ma vision des choses qu’on soit des princesses ou non, nous sommes aussi des jeunes femmes du temps moderne et par conséquent, nous devions profiter de la vie, elle aura tout le temps de s’empêcher de vivre une fois qu’elle sera reine ou une femme mariée d’un important duc ou lord, je ne sais quoi d’autres.

J’allais donc en direction de sa chambre, je ne l’avais pas prévenue de mon arrivée, je veux dire, je n’étais pas n’importe qui après tout, je n’étais pas une vulgaire petite noble ou je ne sais quoi encore. Une fois au niveau de sa porte, je l’ouvris sans même frapper auparavant et je vis la princesse Charlotte tranquillement en train de lire dans son canapé. Je voyais bien là qu’elle était surprise de me voir en ce lieu sans avoir préalablement annoncer ma venue. Véritablement, quel manque de bienséance je faisais preuve. Mais je n’en avais strictement rien à faire pour dire vrai.

Je lui fis un énorme sourire « Ton garde du corps ne fait pas bien son travail » Répliquai-je donc avec un grand sourire. C’est sûr qu’elle ne devait pas avoir l’habitude qu’on puisse lui parler ou se comporter de la sorte avec elle. Je me souriais intérieurement tout en me promettant que la vie de la princesse Charlotte allait changée avec mon arrivée et je me promettais également de décoincée un peu ce petit visage d’ange. Je veux dire, cela me faisait de la peine de la voir comme cela à cet âge alors qu’elle était belle, jeune, elle devait profiter de la vie qu’on lui avait offerte.

Je m’installai donc à côté d’elle sans même faire de révérence et j’en passe, c’est bon, on avait le même titre, j’étais peut-être chez elle, mais je n’allais pas non plus lui lécher les pieds. Je lui pris son livre des mains « Livre intéressant » Répliquais-je donc en souriant. Il ne fallait pas croire, dans le passée je lisais énormément, j’avais toujours aimée ça avec écrire. Puis avec le temps j’avais arrêtée, j’aimais toujours dans le fond de mon cœur, mais je préférée garder ce qui était au passé au passée et me concentrer sur la vie de l’instant.

Nous pouvions mourir à chaque instant, je le savais bien puisque mon grand frère avait perdu la vie. Et je me disais combien sa vie avait été dictée par des règles, des principes, des obligations et j’en passe. Je ne voulais pas mourir en n’ayant pas vécu comme il le fallait, de cela, j’en étais certaine. De plus, je me doutais que la fin de ma liberté allait bientôt prendre fin quand j’épouserais son frère jumeau et encore moins quand je devrais lui faire des enfants et encore moins quand je serais reine d’Angleterre.

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ft. Annabella Grimaldi

Depuis l'arrivé des Grimaldi à Londres je passais a pus part de mon temps avec mon petit frère Raphaël ou alors das ma chambre. Pourquoi ? Tout simplement parce que je ne le sentais pas. Mais bon ceci n'est qu'un premier jugement et puis de toute façon nous avons tous une bonne âme. Aujourd'hui j'étais donc tranquillement en train de lire dans ma chambre quand la princesse Annabella rentra. Je relevais mon regard quand j'entendis sa voix, mais décida de ne pas répondre. Alix n'était certes pas devant ma porte car je l'avais congédier pour aujourd'hui.

Elle s'installa à côté de moi et me pris le ivre des main. Je souris et lui répondis. Il avait l'air intéressant, mais je ne serais pas la suite. Son comportement n'avais rien de digne pour la famille royale d'Angleterre et je ne comprenais pas comment mes parents pouvaient laissés passer tout cela. Mais bon après tout je n'avais pas mon mot à dire je n'étais que la princesse de Cambridge.

Je m'installais donc en tailleur sur mon sofa et lui demanda. Je peux faire quelque chose pour vous ? Dans la famille on se vouvoie, les seuls personnes que je ne vouvoie pas sont Alix, mes meilleurs amis et surtout mes frères, mais cela seulement que quand nous sommes en intimité.

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Arrivée à Cape May : 13/12/2014

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Charlotte de Cambridge et Annabella Grimaldi

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J’étais dans la chambre de la princesse Charlotte, ma future sœur. Cela me faisait encore tellement étrange de dire ça, il y a quelques mois encore je n’aurais jamais cru que j’allais me marier les mois à venir et encore moins avec un mec que je ne connaissais pas. Mais, après tout, j’étais une princesse et j’avais un devoir envers ma famille et mon pays. Et c’était le devoir d’une princesse de se sacrifier si on peut dire comme ça. J’avais acceptée, du moins, je n’avais pas tellement le choix à vrai dire, mais ce n’était pas pour autant que j’allais me priver de ma liberté.

Je faisais donc comme chez moi et je voyais bien le comportement outrée de la jolie blonde près de moi et je levai les yeux quand elle me vouvoyait. Je savais très bien les règles de bienséance, je les avais apprises aussi, j’avais eu la même éducation. La seule différence entre nous en réalité, c’était que je n’avais pas l’intention de gâcher ma jeunesse avec tellement de protocole. La mort de mon frère avait fait un déclic en moi, la vie est bien trop courte pour se priver et je ne pouvais m’empêcher de penser que mon frère avait passé toute sa vie à suivre les règles et obéir à tout ce qu’on lui disait, il n’a même pas profité de la beauté de la vie et ce qu’elle peut nous apporter.

Je voyais bien que je gênais la princesse « Pourquoi tu ne le sauras jamais, tu pourras très bien le lire plus tard » Répliquais-je « Ou alors c’est simple, c’est une bonne astuce… Tu lis le prologue, les trois premiers chapitres et ensuite tu passes directement aux trois derniers avec l’épilogue et voilà… Tu verras, tu ne seras pas tellement perdu au final » Dis-je avec un haussement d’épaules et un clin d’œil. Bien entendu, du peu que je la connaissais, je savais très bien qu’elle allait être contre cette méthode, elle était tellement trop réglée et à ne pas suivre le chemin tracé, un vrai mouton.

Je levai les yeux, les jumeaux d’Angleterre était exactement pareil à vrai dire, comme les jumeaux Grimaldi l’étaient. Je la regardai tandis qu’elle me parlait « Tu n’es pas obligé de me vouvoyer ou de faire preuve de bienséance, on est que toutes les deux et au final on n’est pas si différente l’une de l’autre » Répliquais-je en haussant les épaules « Tout comme toi, je suis une princesse, la seule fille avec deux garçons, que c’est mon frère qui règnera et que d’un certain côté, on a moins enfin on avait moins de devoir… Ce n’est plus mon cas… Mais tu vois » Répliquais-je donc.

Je penchai la tête sur le côté « Tu as encore de la chance d’avoir tes deux frères, qu’on ne t’es pas arraché à ta patrie, tes amis et ta famille pour t’envoyer au loin et t’obliger à te marier avec un parfait inconnu et de devoir reconstruire ta vie sans qu’on te laisse le temps de faire ton deuil… Donc au lieu de me regarder avec jugement et inquiétude, soit plutôt contente que toi, tu n’as pas encore à devoir vivre ça » Répliquais-je donc.

Au moins, elle savait ma façon de penser « Sinon, tu as des choses de prévues aujourd’hui et ce soir, ou je peux t’accaparé ? » Repris-je donc en reprenant mon éternel sourire, comme si je ne venais pas de déballer avec sérieux et gravité l’histoire de ma vie ces derniers temps. Comme si la vie était rose et belle.

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ft. Annabella Grimaldi

Je l'écoutais après tout elle avait raison, mais je n'avais pas pour habitude de tutoyer des personnes que je connaissais peut hormis mon jumeau et mon petit frère. Mais je ne répondis pas, après tout que pouvais-je dire. Je m'installais donc en tailleur sur mon fauteuil, et laissai donc la princesse de Monaco me parler. Je souriais faiblement, mais gentiment. Certes, elle avait à mon égard rien d'une future reine, mais après tout elle ne me voulait rien de mal. Du moins, je l'espérais, car on est jamais trop méfiant.

Je l'écoutais me dire que j'avais de la chance d'être avec mes deux frères, ma patrie et mes amis. D'un côté, c'est vrai, je n'aurais pas supporté être à sa place loin des miens, même pour des raisons de royauté. J'étais complètement dans mes pensées, à me demander comment j'aurais réagi et surtout agis à sa place. Car du coup, il fallait plus ou moins qu'elle recommence tout. Une nouvelle vie, de nouveaux amis. En gros le début d'un livre dont on connaît déjà la fin. Du moins en partie, car tout le mode sait qu'elle finira mariée à mon frère et qu'elle deviendra à un moment la reine d'Angleterre.

Je sortis de mes pensées quand je l'entendis me demander si j'avais quelque chose de prévus ce soir. Je me mis à réfléchir, en consultant mentalement mon calendrier. Je souris à Annabella et lui dit. Je n'ai rien de prévus, mise à part une soirée tranquille devant un bon livre. Il était rare que je sorte, si je sortais, c'était avec mes meilleurs amis, mais ce soir ils avaient des obligations familiales. Du coup, c'était soirée tranquille ce soir. Mais cela allait changer au vu des dire d'Annabella.

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Arrivée à Cape May : 13/12/2014

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Charlotte de Cambridge et Annabella Grimaldi

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Bien sûr que c’était facile de juger quand on ne connaissait pas véritablement une personne, bien sûr on se satisfaisait de ce qu’on nous donnait. Mais je ne supportais pas les manières de cette princesse qui se pensait bien meilleure que moi, très franchement, je n’avais rien à lui envié, si ce n’est peut-être le fait d’avoir encore toute sa vie… Mais niveau de la personne en elle-même. Et je voulais faire un effort car elle était la jumelle de mon futur époux et par conséquent, je savais qu’elle avait une influence certaine sur lui.

Je levai les yeux en l’air quand elle me vouvoya ou qu’elle pleurnichait pour son livre. Je pris enfin le courage pour lui dire ce que je pensais et qu’elle sache… Qu’elle sache la chance qu’elle avait, qu’elle sache qu’elle devait profiter de la vie avant que cette dernière ne soit sur le point de terminée comme la mienne à présent. Mais ma folie et mon esprit libre se battait encore pour survivre dans ce monde de règlement et d’obligation. Et d’ailleurs, cela me faisait pensée à la conversation que j’avais eue avec mon frère il y a quelque semaine.

C’est alors que je trouvai que c’était le bon moment de tout recommencer entre elle et moi, que la princesse blonde se détache un peu de son balai. Qu’elle retrouve sa jeunesse et son insouciance. Je lui demandai donc ce qu’elle faisait ce soir et je levai de nouveau les yeux en l’air « Nous sommes samedi soir, tu ne vas pas rester là un samedi soir voyons » Répliquais-je un peu outrée. Je me levai donc et je me dirigeai vers son armoire pour l’ouvrir et regarder ce qu’il y avait dedans. Au moins, je sais qu’avec elle, je n’allais pas avoir peur de la qualité de ses vêtements comme je pouvais le voir avec certaines personnes, toutefois, j’avais un peu peur du style.

Je ne fis pas attention à ses questions et ses protestations, son indignation et son agacement. Je continuai de regarder ses vêtements, je n’étais pas du tout satisfaite de sa garde de robe « Viens avec moi » Répliquais-je déterminée en me retournant face à elle et en lui prenant la main pour l’entraîner dans ma chambre. Je ne lui avais pas expliqué ce que j’avais en tête, mais ce n’était pas grave elle allait bien le découvrir assez tôt et j’allais bien supporter ses jérémiades assez tôt également, à mon plus grand désespoir aussi.

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ft. Annabella Grimaldi

Cette fille était vraiment loin du modèle de femme que ma mère voulait pour mon frère, mais bon, la vie était faite comme ça un point c'est tout. J'avais beau protestée, Annabella ne fit pas attention à tout cela, d'ailleurs je ne savais pas dans quoi elle allait m'embarquée mais cela risque de devenir un problème. Elle me prit la main et on se dirigeait vers sa chambre, enfin c'est plutôt elle qui me tirait vers sa chambre, je serais spécialement rester bien tranquille dans la mienne, mais ma future-belle soeur en avait décidée autrement, elle ouvrit la porte et se dirigea directement vers sa garde robe.

Mon dieu qu'était elle en train de préparée? je la vis fouiller dans tout ses vêtements, tout en se parlant à elle-même. Cette fille était vraiment différente de toutes les autres princesse que je connais, mais bon, je préférais arrêter de penser à tout cela car après tout, elle serait juste ma future-belle soeur, bon certes elle finira reine, mais autant dire que pour le moment il y avait le temps.

Je l'entendis dire un truc du genre celle-ci fera l'affaire, elle se tourna vers moi avec un grand sourire et me montra une robe. Je fronçais les sourcils et me mordis la lèvre et lâcha. Tu crois vraiment que moi, je vais porter cela. Bon certes la robe était jolie, mais pas digne d'une princesse comme moi. Trop courte, trop ouverte, enfin une robe qui ruinerait ma réputation de petite fille sage et modèle. Bon certes j'étais loin de cela mais ce n'était pas une raison.

Je vis à la tête d'Annabella que ce que je venais de dire n'était pas du tout de son avis. Je me tenais donc droite et croisa les bras, en attendant qu'elle me dise ce qu'elle préparait. Je suis sûre qu'elle va utiliser n'importe quel argument pour que je puisse mettre une tenue qui lui plaise plus à elle cas moi. J'avais entendue dire qu'elle arrivait facilement à convaincre les gens, cela ne serait pas étonnant, elle faisait plutôt du forcing, au lieu d'être diplomate. la preuve avec moi à l'instant, je n'avais vraiment pas eut le choix de la suivre dans ses appartements.

J'ignorais ce qu'elle avait prévue pour la soirée mais je me dis que cela ne faisait que de commencer. Cette soirée allait être différente, et au fond de moi, je n'appréciais pas cela, mais bon, si je dis non, elle va pensée que je ne l'aime pas, mais si je dis oui, elle va croire que je trouve ma vie ennuyeuse, en gros je préférais garder le silence comme ça cela restera un mystère, mais il faut dire que la dite robe n'était pas faite pour moi. Elle n'était pas du tout le style de tenue que je portais même dans les soirées avec mes meilleurs amis.

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Arrivée à Cape May : 13/12/2014

Carpe Diem

Je n’étais pas le genre de fille à me morfondre, à rester enfermée et à pleurer sur mon sort. Non bien sûr que non, ce n’était pas dans mon caractère, j’étais bien plus forte que cela. Et je décidai à aller de l’avant, de profiter du peu de liberté que j’avais encore, de profiter de la vie tant que j’en avais encore une. C’est donc pour cela que j’étais venue voir ma future belle-sœur, la princesse Charlotte, la jumelle de mon futur mari. Cette jeune femme avec qui je n’étais pas proche du tout, pas proche comme je l’étais avec Raphaël ou comme je l’étais de la fiancée de mon frère, qui était dans la même situation que moi au final. J’étais totalement différente de cette blondinette, mais je devais tout de même faire un effort pour apprendre à la connaître… Elle était tout de même une partie de mon futur mari et je savais que d’une part, c’était important pour lui.

C’est donc pour cela que je voulais passer une soirée avec Charlotte à s’éclater comme des jeunes femmes de nos âges, comme des jeunes femmes normales et sans obligations quelconque. Certes, ce n’était pas bien et que la reine ne serait pas du tout d’accord… Mais je m’en fichai et Charlotte devait apprendre à s’amuser également, ce n’était pas une vie ça. Toutefois, quand je voyais sa garde de robe, ce n’était pas du tout possible. Tout en elle, sa coiffure, son maquillage, ses vêtements faisaient petites filles sages… Ce n’était pas possible, très clairement. C’est alors que je l’entraînai dans ma chambre où je savais que ma garde de robe était totalement différentes, il y n’avait pas de doute là-dessus, de toute façon, ce n’était pas difficile.

Une fois arrivée dans ma chambre, je la fis installer sur mon lit tandis que je me dirigeai vers mes vêtements « Ce soir, on va en boite toutes les deux » Lui annonçais-je « Cela ne sert à rien de protester, tu n’as pas spécialement le choix blondie » Fis-je toute pétillante « On ne fait pas exactement la même taille, mais cela devrait le faire quand même je pense » Répliquais-je ensuite « Car très clairement, on ne peut pas sortir avec tes vêtements, c’est beaucoup trop sage » Fis-je donc toujours en farfouillant dans mes vêtements sans faire attention à elle.

C’est après un moment que je trouvai une tenue qui lui irait à merveille, elle était jolie, simple, sexy mais pas trop, et elle n’avait rien de vulgaire, de toute manière, je ne m’habillais pas de manière vulgaire… Il ne fallait pas abuser non plus. Je me retournai vers elle, triomphante « Elle est faîte pour toi celle-là » Lui affirmais-je « Vas-y essaye là, je vais me trouver une tenue en attendant » Répliquais-je en ne lui laissant pas un instant de répondre, de toute façon quand j’avais une idée en tête, je ne l’avais pas ailleurs et je ne lui laissai pas le choix. Je continuai donc de chercher dans mon armoire, cette fois-ci, pour moi.

roller coaster

SCENE ABANDONNEE POUR CAUSE DE CHANGEMENT

» Kayla Taylor ◈ Carpe Diem