Destiny is All
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  RechercherRechercher  Dernières imagesDernières images  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Bienvenue sur le forum Invité <3
Destiny Is All a ouvert ses portes le 28 février 2022.
Fais connaître toi aussi le forum pour avoir plus de jolis coeur dans notre famille.
-20%
Le deal à ne pas rater :
Ecran PC GIGABYTE 28″ LED M28U 4K ( IPS, 1 ms, 144 Hz, FreeSync ...
399 € 499 €
Voir le deal

 

 Wolfgang - Retrouvaille ne rime pas toujours avec rigolade

Aller en bas 
Auteur
Message
Invité
Anonymous


Wolfgang - Retrouvaille ne rime pas toujours avec rigolade Empty
MessageSujet ☆ Wolfgang - Retrouvaille ne rime pas toujours avec rigolade   
le sujet à été posté Jeu 10 Aoû - 21:50

Retrouvaille ne rime pas toujours avec rigolade
Alix & Wolfgang

Alix avait une journée de libre pour flaner dans les rues de Londres et elle en profitait pour revenir dans le quartier qui avait tout changer pour elle ce lieu était celui où sa vie avait prit un nouveau tournant une assistance sociale lui était venue en aide et lui avait permit avec son frère de quitter enfin le domicile de leur parents violent. Ici elle avait rencontré pas mal de gens comme elle qui vivait dans la peur et la violence et c'était avec une des femmes travaillant là qu'elle avait fait le choix de partir à l'armée cela était un bien pour elle devoir que la violence pouvait parfois servir à aider des personnes qui en était victime par de mauvaise personne. C'était compliqué car c'était faire aux autres ce qu'on ne voulait pas subir mais elle avait servie et avait été heureuse de le faire c'était une page de sa vie qu'elle ne renierait jamais et qui lui avait permit aujourd'hui d'être plus forte.


Si elle avait arrêtée c'était avant tout pour fuir un homme ayant une trop grosse emprise sur elle mais aussi pour pouvoir avoir une vie stable et songer à créer une famille elle approchait de la trentaine et voulait des enfants. Du coup elle était revenue sur Londres et avait prit un travail de garde du corps pour la princesse de Cambridge. Du coup elle revoyait un peu les lieux qu'il lui était important il n'y en avait pas beaucoup, elle n'avait pas énormément de bon souvenir dans cette ville et pourtant elle ne se voyait pas déménager définitivement la brune finissait toujours par revenir au bercail. En passant dans la rue Alix repera un visage qui lui était familier et qui en même temps semblait changer, c'était un garçon qu'elle pensait connaître mais qu'elle ne devait pas avoir revu depuis bien longtemps et elle n'était pas certaine d'avoir bien reconnu la personne c'est donc doucement qu'elle s'en approcha afin d'avoir plus de certitude.


En approchant elle entendit le prénom du garçon venant de la bouche d'une autre personne c'était donc bien ce qu'elle pensait, Alix s'arrêta et laissa les deux jeunes parler entre eux jusqu'à ce que celui qu'elle connaissait se retrouve tout seul elle avait un peu peur d'aller lui parler comme ça dans la rue après autant de temps mais le destin décidait de les mettre dans la même rue le même jour à la même heure c'était donc un signe. " Wolfgang ?" Si il ne la reconnaissait pas elle était mal barrée et se taperait l'air con mais elle n'avait pas l'impression d'avoir beaucoup changer physiquement parlant. La garde du corps n'était pas très rassurée envolé l'image de la femme forte et sûre d'elle l'ami qu'elle avait laisser sur Londres pour partir en mission avec l'armée ne connaissait pas cette nouvelle facette d'elle et la jeune femme se sentait toujours plus en danger ici.

Made by Neon Demon
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Anonymous


Wolfgang - Retrouvaille ne rime pas toujours avec rigolade Empty
MessageSujet ☆ Re: Wolfgang - Retrouvaille ne rime pas toujours avec rigolade   
le sujet à été posté Dim 13 Aoû - 20:54



❝Retrouvaille ne rime pas toujours avec rigolade.❞
The wolf & The eclipse
Ne t'attaches pas. N'aime pas. N'espère rien. Ne rien donner pour ne rien recevoir. Respire. Tu ne cessais pas de te répéter ses paroles chaque matin lorsque tu croisais ton reflet dans le miroir.

Pour une fois tu ne travailles pas aujourd’hui enfin, officiellement non. Cette fois-ci tu ne revêtis pas ton habit de paysagiste mais, celui de voyou. Comme toujours, l’autre servait juste de couverture vous m’direz. Et probablement que vous n’avez pas tort à cent-pour-cent. Pourtant cet accoutrement que tu revêtais à cet instant, se faisait bien plus rares que d’habitude. Celui de dealer, ensemble Nike qui se constitue d’un jogging et d’un sweat à capuche, les baskets de la même marque, tu te fondais dans la foule de ses petits merdeux typiques des rues. La différence que toi tu as avec eux, c’est qu’au lieu d’utiliser les aides de l’état pour te les payer, tu cherchais dans les friperies pour les avoir aux prix cassés. Tu n’es pas tout le temps con apparemment. En soi tu ne trouvais pas que ça t’allait spécialement néanmoins avec les uniformes bleus qui sont tels des chiens de faïences sur cette illégalité-là, il est bien plus simple de se cacher avec une capuche et courir plus aisément qu’en jean. Le rendez-vous prit, l’ironie du sort veut que tu le retrouves dans ce foutu quartier que tu connais pratiquement par cœur à cause de ton passé. Les murs et le sol de béton que tu avais tant de fois foulée, garder en eux la nostalgie de certains souvenirs que tu voulais oublier.

L’heure arrive prenant ta came que tu planques dans ta sacoche, en quelques minutes tu te retrouves dans le north de Londres, envahis par les brides qu’il te reste de cette foutue assistante sociale que tu côtoyais à l’époque. Tu réalises avec amertume que tu as plus souvent vu cette femme que ta tendre mère, Norma. Une boule se forme dans ta gorge, revoyant les flashes de ta génitrice qui malgré son comportement loin d’être admirable, était la seule personne pour qui tu portais un amour indescriptible. Hors, lorsque tu aperçois ton client, ton attitude changes directement. Tes traits se faisant plus sérieux, cette tristesse te quittant pour aborder la confiance en toi. Une poignée de main, vous commencez à discuter, ce qui t’agaces mais, tu ne dis rien. Tu as bien trop besoin de cet argent pour pouvoir le perdre à cause de ton caractère enflammée. Tu fronces un peu les sourcils, ce gars pu. C’est horrible. Heureusement que tu n’es pas vraiment sensible aux odeurs, sinon tu es sûr que tu aurais déjà dégueulé à ses pieds. Tu restes tout de même éloigné de lui, craignant que son odeur de putois t’imprègne également. Encore un qui se croit au-dessus de tout le monde, qu’il pense tout savoir sur la drogue. Un Walter Withe du pauvre. Ses lèvres bougent et pourtant tu n’écoutes pas perdu dans tes questionnements concernant son empestement, il devait soit ne pas se laver du tout ou bien se trimballer avec un fromage pourri dans les poches.

Une frimousse brune passe au loin, tes lucarnes quittent le cas-sociaux pour observer celle-ci. En une seule petite seconde cette foutue boule se reforme, cette fois-ci dans ton ventre, ça te donne presque la nausée. Tu fronces les sourcils, préférant plonger totalement dans la conversation inutile et franchement plate dans laquelle tu es dedans que te laisser submergé par ce que provoque chez toi les traits fins de la brune. D’habitude tu n’es pas vraiment pieu, pour ne pas dire pas du tout mais, là tu pris tous les dieux existant pour ne pas qu’elle te reconnaisse, ajustant ta capuche sur ta tête. La vie n’est pourtant pas aussi simple, le destin voulant se jouer de toi, tu sens une présence derrière toi. Non bébé, ne te retournes pas. Reste fort. Ça va all-..Tu manques de frapper le con devant toi lorsque ton prénom sort de sa bouche alors qu’il t’indique d’un coup de tête la présence. Tu fais volte-face plongeant dans les iris chocolat de ce fantôme du passé, tu déglutis difficilement avant de lui tourner le dos, comme si tu ne l’avais pas reconnu.

« - Wolfgang ? »

Salope. Si l’autre idiot n’était pas là, tu aurais pu grogner de mécontentement. Forcément il a fallu qu’elle te reconnaisse, qu’elle ne soit pas trompée par le temps ou bien ta dégaine. Tu restes un bon moment le dos tourné à elle, rien que de revoir ce foutu regard chocolat, tu pouvais déjà sentir la douleur que tu avais ressentis à son départ refaire rage toi. Ta gorge se serre et lentement presque un peu trop, tu te retournes pour l’observer.

« - On se connait ? Demandes-tu la jugeant de la tête à pied avant de reprendre, Écoute, j’suis pas d’humeur à écouter les pleurnicheries d’une pisseuse qui veut se la jouer caïd. Tu t’es lançais toi-même dans cette jungle, j’peux pas toujours rattraper vos pots cassés. Malgré que je sois ton roi, tu te démerdes. Chacun sa merde. »

Haussant les épaules tu lâches un ricanement moqueur, te moquant d’elle et de ses déboires. Il y a une raison à ça autre la rancœur qui t’habites, le gars face à toi tu ne le connais pas. Tu ne sais pas ce qu’il pourrait faire, dire, répéter. Alors tu préfères faire comme si elle t’était inconnue, comme si elle était l’une des racailles de ce quartier. Ce que tu fais généralement quand ça arrive avec d’autres de tes connaissances. Tel une pièce de Shakespeare, tu joues la comédie, comme dans une vulgaire pièce de théâtre un peu trop has-been pour toi. Prendre le rôle du roi de la ville est beaucoup plus facile que d’assumer celui du gamin abandonné. Une nouvelle fois tu te retournes redevenant un peu plus sérieux avec ta transaction, vous échangez de nouveaux quelques mots puis une nouvelle poignée de main. Un peu plus longue, plus collé, faisant passer le billet et glisser le sachet d’herbe discrètement. Le type finit par se barrer, vous laissant seuls à deux, aussitôt tu lui fais face, attrapant solidement son bras pour l’emporter avec toi. L’attirant dans une ruelle déserte éclairée par les rayons du soleil présent malgré la fraîcheur du temps, tu finis par t’arrêter plongeant ton regard colérique dans le sien.

« - Qu’est-ce que tu fous là ? Questionnes-tu le ton nettement plus dur qu’auparavant, Tu n’étais pas assez cool pour ses connards de soldats ? »

Sans douceur tu la relâches faisant quelques pas pour te garder éloigner d’elle, tu veux qu’elle sente le froid, l’amertume qu’est le rejet. La douleur que l’on peut ressentir lorsqu’on s’aperçoit que pour parfois pour les autres nous sommes qu’un grain de sable parmi tant d’autres. Tu la tacles ouvertement sur son prétendu travail, pour quelles raisons serait-elle la autrement ? Elle n’avait apriori pas d’attache ici, peut-être son frère à la limite. Et cette connerie de servir le pays, tu y croyais autant qu’au retour des dinosaures. Fronçant légèrement le nez tu brises le contact visuel attrapant agilement ton paquet de cigarettes enfoncer dans la poche de ton sac. Tu tires une cigarette, la calant entre tes lèvres, ton regard restes braqués sur elle. Il y a des années, son retour aurait été différent, toi qui est si peu tactile tu lui aurais sûrement sauté dans les bras. Tout fou qu’elle soit à tes côtés mais, le temps avait servi à ce que rien que l’idée de la toucher une nouvelle fois, te dégoûtait. Elle n’était pas mieux que Norma, ça te tues de l’intérieur. Tirant longuement sur ton tube de nicotine, tes paupières sont à mi-closes alors que tu recraches la fumée.

« - Reste loin de moi, Alix. Continues-tu gardant le même froid hivernal qu’est ton intonation, Trop de choses ont changé, ce n’est plus les mêmes règles, plus le même jeu. Donc sois gentille, ne reviens plus me voir. »

On pourrait croire que tu te sers sans honte de l’aspect dangereux de ta situation, de ce masque de protection que tu revêtis quelques secondes pour la tenir éloigner de toi. Elle connaît le milieu dans lequel tu as grandis, elle aussi en fait partit, déjà à l’époque elle voyait bien dans quelle voie tu te tournais. Alors qu’en réalité tu ne parles pas de ce monde qu’est la rue où tu as grandi, où elle a grandi elle aussi mais, de ta propre personne. Tu n’étais plus le pauvre gamin qu’elle a connu il y a bien des années, ce petit froussard, il avait changé à la minute même où il l’avait vu lui tourner le dos pour s’engager auprès de sa nation. Oubliant que d’une certaine manière elle s’était déjà enrôler dans un devoir, un but de faire cesser la guerre, ou plutôt de l’empêcher. Pourtant, en te quittant elle n’avait fait que l’inverse. It’s war in my minds.

© Pando


Revenir en haut Aller en bas
Invité
Anonymous


Wolfgang - Retrouvaille ne rime pas toujours avec rigolade Empty
MessageSujet ☆ Re: Wolfgang - Retrouvaille ne rime pas toujours avec rigolade   
le sujet à été posté Dim 13 Aoû - 23:14

Retrouvaille ne rime pas toujours avec rigolade
Alix & Wolfgang

Alix ne savait pas à quoi s'attendre elle c'était approché d'un inconnu qu'elle pensait connaître mais n'était pas certaine que son impression soit correcte et elle ne voulait pas se retrouver mêler à de drôle d'affaire entre gang. La brune se demandait pourquoi elle n'était simplement pas rester sur son trottoir à regarder le bâtiment ayant changé sa vie mais elle ne pouvait pas rester de marbre face à un visage qui était associé au lieu et qui avait marqué sa vie. Elle avait écrit au garçon mais jamais il n'avait répond et elle avait comprit alors qu'il lui en voulait mais elle ne comprenait pas pourquoi elle avait tenter de garder le contact il avait refusé et il ne pouvait pas lui en vouloir d'avoir eut le besoin et l'envie de se construire. Tout deux c'était rencontré ici, le petit avec treize ans à l'époque et il était déjà dans une mauvaise pente ce qui n'était pas le cas d'Alix qui elle ne voulait pas sombrer dans la colère et les conneries pour ce venger de ses parents. Visiblement Wolfgang avait choisit de continuer dans cette voie là ce qui n'était pas réellement un plaisir à voir, mais que pouvait-elle dire alors qu'il s'amusait à le prendre pour une inconnue.

" La pisseuse peut te faire pleurer d'un coup de poing alors redescend de ton cheval blanc et vite je ne serais d'humeur longtemps. J'ai pas besoin de roi une reine une vraie se débrouille sans homme je suis pas ici pour ça" Autant lui répondre en jouant le jeu l'autre partirait sans doute plus vite si il avait peur de se faire démolir la face et Alix n'était pas une gentille enfant de cœur elle avait apprit à utiliser la violence et même si elle n'aimait pas s'en servir elle pouvait le faire au besoin. Beaucoup de ses collègues militaire lui avait dit qu'elle faisait peur, froide et sans émotions elle avait l'air capable d'en finir avec la terre entière à tout moment c'était ce qu'elle voulait montrer pour qu'on ne vienne pas lui chercher des noises mais cela n'était pas réellement le cas en réalité elle restait la petite Alix qui se planquait dans les bras de son frère quand elle entendait son père entrer en hurlant et sa mère crier son prénom pour ne pas avoir à prendre les coups.


Londres n'était plus pareil qu'avant et la brunette n'était pas prête elle n'aurait peut-être pas du revenir au final l'armée n'était plus sa place mais cette ville qui l'avait vu naître et grandir l'était-elle ? Rien n'était sûre et la belle aurait bien besoin d'appeler son frère après ça. Quand l'inconnu partit Wolfgang tira Alix dans une ruelle visiblement le jeu de je ne te reconnait pas avec terminé et ils allaient pouvoir parler tout les deux c'était une bonne nouvelle parce qu'elle n'était pas là pour jouer à l'enfant elle avait passer l'âge. " Je suis revenue sur Londres passer par ici était un peu obligatoire pour moi" Alix ne se laisserait pas démontée elle n'était pas le genre de femme à plier devant un ton et un regard dur elle était blindée contre ça et ne connaissait de toute manière pas d'autre rapport avec les hommes. " J'ai quittée l'armée de mon plein grès les soldats n'ont rien à voir là dedans" Wolfgang en voulait à la taire entière. " Tu ne m'a jamais répondue alors ne t'en prend pas à moi pour être partie quand j'ai essayer de rester en contact avec toi sans jamais avoir de réponses" Sans doute n'avait-il même jamais lu ses courriers après tout il avait l'air dans avoir rien à faire d'elle et si Alix était revenue elle n'était plus la même, brisée à nouveau par un homme ayant abusé d'elle une nouvelle fois, elle avait de nouveau été soumise à une emprise psychique et physique qui l'avait détruite une nouvelle fois et elle ne pouvait pas se laisser aller à pleurer comme elle aurait pu le faire avant de partir.


" Je ne suis pas gentille, et je n’obéis pas aux ordres qu'on me donne surtout quand cela vient d'un homme et tu devrais le savoir. Je n'ai jamais été douée pour suivre les règles et j'adore jouer dommage pour toi tu est tomber sur la mauvaise personne je ne partirais pas en baisant les yeux" C'était terrible à dire mais elle avait une tendance destructrice à s'accrocher à tout ce qui pouvait lui faire mal, son corps et son âme n'était à chaque fois que douleur, pourtant elle continuait à s'enfoncer dans cette spirale ne lâchant que quand elle ne pouvait plus rien faire et pour lui elle pouvait encore faire quelque chose, lui encrer dans le crâne qu'elle ne l'avait pas abandonner et qu'elle n'était pas partie à cause de lui.

Made by Neon Demon
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Anonymous


Wolfgang - Retrouvaille ne rime pas toujours avec rigolade Empty
MessageSujet ☆ Re: Wolfgang - Retrouvaille ne rime pas toujours avec rigolade   
le sujet à été posté Mer 6 Sep - 20:45



❝Retrouvaille ne rime pas toujours avec rigolade.❞
The wolf & The eclipse
Tu sais quoi Wolfgang ? C’est vrai que tu es un connard. Tu n’as pas de cœur, t’es inhumain. Un monstre, voilà ce que tu es. Avait-elle hurlait sur toi pendant qu’elle ramassait ses affaires.

Parfois cette petite phrase revenait dans ta tête, dans ton esprit bien trop sombre lorsque tu te regardais dans le miroir. Étais-tu vraiment un être incapable de ressentir le moindre sentiment ? Bien sûr que non. Tu pouvais sentir les émotions se bousculaient en toi, hors, tu ne savais pas montrer les silences de tes états d’âme. Tu n’étais que violence et destruction, que haine et colère. Tu avais grandi ainsi, forgé par ton passé et alimenter par tes déboires, reposant sur tes croyances qui diffèrent des autres. Ses petits mots t’avaient touché d’une manière que tu ne savais pas quoi en penser, ça te rendait perplexe. Était-ce vraiment une mauvaise chose d’être impénétrable comme toi ? Si insouciant des autres qui t’entourent ? Pour toi ça te sembler être une bien meilleure défense ainsi tu ne prenais pas le risque d’être à la place de cette pauvre fille qui apparemment été blesser de ton comportement. Les blessures tu en avais trop eu, tu n’en voulais pas plus. Tu ne voulais plus qu’elles réapparaissent en te laissant pantelant.

Pourtant aujourd’hui tu ne t’attendais pas à ce que l’une d’entre elles se rouvre pour laisser couler le sang imaginaire dont elle était imprégnée. En revenant dans ce quartier qui avait vu naître l’homme que tu étais devenu aujourd’hui, tu ne pensais pas retomber sur la brune. Tu avais fait une croix sur elle, enterrant les souvenirs joyeux et ne gardant que l’amertume que son départ avait provoquée. C’était égoïste, pas vraiment enclin à comprendre, mais, tu ne voulais pas qu’elle parte. Qu’elle s’engage dans l’armée parce que du haut de tes treize ans, tu savais le danger que cette voie représenter. Et si tu venais à la perdre elle aussi ? Un nouveau deuil à devoir faire serait trop compliqué. Trop dure. Tu n’as déjà pas réussi à faire celui de Norma, alors envisager celui d’Alix.. Elle avait donc fait son choix en suivant ses rêves, ses espérances, sans se soucier de tes névroses. Elle était partie, ce jour-là marqué au rouge dans ton calendrier interne, avait signé la sortie de sa personne dans ta vie.

« - La pisseuse peut te faire pleurer d'un coup de poing alors redescend de ton cheval blanc et vite je ne serais d'humeur longtemps. J'ai pas besoin de roi une reine une vraie se débrouille sans homme je suis pas ici pour ça »

Le client en face de ton réprime un sourire à la vue de tes iris tempétueuse que sa réponse déclenche en toi, tu te retournes une nouvelle fois, plus lentement, plus sombrement, comme un avertissement. L’observant longuement tu laisses un rictus mauvais fleurir sur tes lèvres rosées. À la même allure tu t’approches d’elle la regardant de haut grâce à ta taille comparer à la sienne, à l’époque tu devais sûrement lui arriver à la hauteur de ses épaules frêles mais, à présent c’est elle qui arrives à tes membres qui portent le poids de tes angoisses.

« - Essaye pour voir, fait moi redescendre de mon piédestal si tu l’oses. Murmures-tu sombrement le regard vif, Toi une reine ? Tu déconnes ? Tu n’en as même pas l’étoffe. »

Tu affiches une mine dégoûté en la détaillante de haut en bas, restant quelques instants à cette proximité, tu la provoques parce que ses paroles ont gonflé cette foutue boule dans tes tripes. Malgré les années passées l’ancienne soldate savait très bien ton rapport à la violence, tu te laissais aspirer certes par celle-ci mais, lever la main sur toi était un choix à faire et à réfléchir. Tu ne supportais pas qu’on te frappe, sûrement les séquelles laisser par Angus mais, dès qu’on te frappait, amis ou pas, tu ne ressentais plus que de la haine envers cette personne. La seule à ce jour capable de te frapper sans que tu vrilles est Mackenzie, ta meilleure amie, pour elle tu encaisser parce que tu savais que quand elle utiliser ce dernier rempart c’était quand tu déconnais vraiment. Tu espérais qu’elle n’ignore pas ton appel à la force, tu aurais enfin une raison valable de la haïr ouvertement. Une fois dans la ruelle, le petit jeu terminé, la clope à la bouche tu écoutes sagement ses paroles, elle commence à parler de son passage à Londres, ce que tu t’en fiche royalement tu ne caches pas ton indifférence.

« - J'ai quittée l'armée de mon plein grès les soldats n'ont rien à voir là dedans. Tu ne m'a jamais répondue alors ne t'en prend pas à moi pour être partie quand j'ai essayer de rester en contact avec toi sans jamais avoir de réponses »

Par contre ça, ça ne te laisse pas de marbre, elle insinuait donc que c’était uniquement de ta faute, parce que tu n’as jamais répondu à ses lettres que secrètement tu lisais le cœur serrer. Mais, tu ne répondais pas, jamais. Parce que tu savais qu’il suffisait d’une lettre, d’une correspondance soutenue pour que tu te rattaches à elle, toi qui avait tant de mal à te défaire d’elle au départ. Puis cette excuse au sujet des soldats tu la connaissais suffisamment pour savoir qu’elle n’a pas pu partir sans raison valable, cependant elle faisait le choix de ne pas t’en parler, ce que tu ne peux pas lui reprocher.

« - Tu attendais une réponse ? Vraiment ? Pourtant à l’époque j’avais été clair, si tu partais, tu pouvais faire une croix sur moi. Réponds-tu au tac au tac gardant le ton dur tu reprends, Je connais ce genre de chose Blake. Au début les lettres fusent ensuite elles se font de moins en moins présente jusqu’à devenir inexistantes. A quoi bon s’accrocher à quelque chose de déjà mort ? »

Demandes-tu en gardant tes lucarnes verrouiller aux siennes, tu ne détournes pas le regard alors que tu tires une nouvelle fois longuement sur ta cigarette remplissant une nouvelle fois tes poumons de cette fumée empoisonnante au fil du temps. Gamin accroc à cette merde à cause de son envie de jouer aux grands, tu ignorais les avertissements d’addiction et à présent tu étais pris aux pièges dans les filets de la nicotine.

« - Je ne suis pas gentille, et je n’obéis pas aux ordres qu'on me donne surtout quand cela vient d'un homme et tu devrais le savoir. Je n'ai jamais été douée pour suivre les règles et j'adore jouer dommage pour toi tu est tomber sur la mauvaise personne je ne partirais pas »

Tu hausses un sourcil suspicieux, tu brises le contact visuel, ne pouvant plus supporter ses yeux chocolat qui s’accroche désespérément à toi. Pourquoi est-ce qu’à chaque fois il faut qu’on tente de rester à tes côtés ? N’avaient-ils pas compris que tu étais malsain pour eux ? Empoisonnant tel un venin se déversant lentement dans les veines de sa proie. Est-ce qu’elle voulait ? Que tu l’emportes avec toi dans ta chute indéterminable ? Tu renifles bruyamment balançant le reste de ta clope au sol avant de l’écraser brutalement. Si elle ne voulait pas partir, rester loin de toi, toi tu le ferais. Tu ne voulais pas tenter de la blesser pour la garder éloigner, tu irais beaucoup trop loin, elle aura beaucoup trop mal.

« - Ce n’est pas un ordre Alix, c’est un conseil. Je te connaissais nuance, plus maintenant. Réponds-tu simplement avant de soupirer longuement prenant une mine blasée, Toi peut-être que tu ne partiras pas mais, moi si. Tu n’es plus rien pour moi, que tu le veuilles ou non. Je ne veux plus de toi à mes côtés, je t’avais prévenu. »

Pas convaincu, pas encore vaincu. Tu sais pertinemment qu’elle est partie à cause de toi, les gens font toujours ça, ils restent à tes côtés puis finis par partir à cause de tes frasques. Ils reviennent parfois, persuadés qu’ils pourront être cette main tendue qu’ils pensent que tu recherches sauf que, tes ténèbres, ta noirceur est tellement épaisses que tu n’arrives même pas à apercevoir cette aide. Un dernier regard qui lui crie de te retenir silencieusement, tu amorces quelques pas pour partir loin d’elle, loin de la nostalgie de son retour. Tu dois panser cette plaie béante.
©️ Pando


Revenir en haut Aller en bas
Invité
Anonymous


Wolfgang - Retrouvaille ne rime pas toujours avec rigolade Empty
MessageSujet ☆ Re: Wolfgang - Retrouvaille ne rime pas toujours avec rigolade   
le sujet à été posté Ven 8 Sep - 17:22

Retrouvaille ne rime pas toujours avec rigolade
Alix & Wolfgang

Alix ne laissait pas tomber, elle ne tournait pas le dos à ses problèmes pour ne pas avoir à les affronter cela n'était pas elle et jamais elle ne se mettrait à faire ce genre de chose. Du coup elle devait faire comprendre au garçon qu'elle n'était pas partie à l'armée pour fuir mais bien pour avancer dans sa vie et se construire un avenir chose qu'elle n'aurait sans doute pas pu faire à Londres trop plongée dans les mauvaises actions de sa famille et des gens qui l'entourait en général. C'était sans doute pour ça qu'elle était de retour devant le centre qui l'avait protégée quand elle avait décidée de fuir sa maison, elle cherchait à revoir des visages connus et à renouer avec sa vie d'avant pour la faire entrer en contact et fusionner avec sa vie de maintenant qu'elle c'était forger et qu'elle continuait à bâtir dans la ville qui l'avait vu naître.

Quand elle avait repérer Wolfgang elle l'avait approchée et n'avait pas été accueillit par un grand sourire et un câlin mais ça elle s'en doutait un peu au vu du caractère du garçon, il n'était déjà pas comme ça à treize ans donc des années après cela serait toujours aussi compliqué pour Alix mais elle ne laisserait pas tomber et il serait obligé d'accepter qu'elle n'était pas du genre à partir sans rien dire. Il avait attaqué en premier elle avait rétorquée avec assurance attendant que son client parte pour ne pas faire de scandale face à deux hommes même si elle était entraînée face à eux deux elle ne pourrait pas faire le poids et Alix n'était pas devenue suicidaire durant ses années de service. " Ton plan ne marchera pas, tu provoque tu trouve tu frappe et tu hais je te connais et tu n'arrivera pas à tes fins avec moi j'ai bien plus de cerveau que tout les abrutis qui tournent autours de toi et qui tombe dans le panneau. On a l'étoffe de ce que l'on veut atteindre tu l'apprendra"

Un jour il verrais sans doute les choses différemment même si il resterait sans doute toujours le garçon impulsif et en colère qu'il était, la brunette espérait juste que cela pourrait être contrôler pour ne pas gâcher toute la vie du brun qui pourrait être meilleure si il le souhaitait. Une fois dans la ruelle elle pouvait quitter cette face froide pour une plus neutre elle n'était pas en colère, pas réellement parce qu'elle savait qu'il devait lui en vouloir même si il n'avait aucune raison logique pour le faire, elle ne l'avait pas quitter lui elle avait quitter la ville, son frère tout elle était partie et revenue comme elle l'avait promis à tout le monde et elle le ferait entrée dans sa caboche dure comme la pierre même si elle devait utiliser une pioche pour le faire.


Elle lui avait répondue clairement qu'elle ne c'était pas faite virer qu'elle était rentrée de son plein gré et qu'il ne pouvait pas lui en vouloir à elle alors qu'elle avait tenter de garder le contact sans avoir de réponse. De plus il n'était pas son père, pas son mari et il n'avait rien à exiger d'elle surtout pas de gâcher sa vie dans une ville qu'elle ne supportait plus même si c'était par besoin de sa présence. " Oui j'en attendais une sinon je n'aurais pas prit la peine d'écrire. Ce que tu n'as toujours pas compris c'est que tu n'était pas et n'est toujours pas en position d'exiger quelque chose de moi, je me suis battue depuis toute petite pour n'obéir aux ordres d'aucun homme et tu l'aurais intégrer si tu n'avait pas penser qu'au fait que tu ne voulait pas me voir partir parce que tu avait besoin de moi. Tu n'as jamais penser au fait que moi j'avais besoin de partir pour ne pas finir pendue à une poutre !" Parce qu'Alix n'était pas aussi forte qu'aujourd'hui à l'époque et elle vivait mal le fait d'avoir du dénoncer sa famille et de ne pas avoir grandit dans un bon foyer. " A quoi bon vivre alors si tu ne crois en rien et en personne ? J'ai écrit à mon frère chaque semaine durant mes 10 ans à l'armée et tu aurais eut le droit à la même chose si tu avait répondu rien qu'une seule fois parce que j'aimais le gamin que j'ai laisser ici et que je ne l'aurais pas laisser tomber"

Alix aidait plus les autres qu'elle ne s'aidait elle même, bien souvent on ne l'aidait pas car on ne voyait même pas qu'elle pouvait craquer à tout moment, mais elle n'était pas infaillible non plus et avait besoin de se faire ses propres expérience de vie pour se sentir vivante. Et si Wolfgang avait besoin de temps pour le comprendre elle le laisserait faire tout en imposant sa présence car c'était en faisant preuve de présence qu'il comprendrait qu'elle ne serait pas du genre à abandonner, que cela soit lui ou autre chose. Et si il voulait la voir partir il allait être déçu car il ne gagnerait pas la partie son plus gros défaut était d'être têtue comme une bourrique et cela pouvait s'avérer utile de temps à autre. " Je ne suis pas non plus les conseils. Je suis toujours la même pourtant. Si je n'étais rien pour toi tu ne m'aurais pas entraîné ici tu m'aurait dérouiller dans la rue pour montrer à ton petit copain que tu est la plus fort de la zone, tu te ment à toi même et je t'avais prévenue que je reviendrais"


Elle ne le laisserait pas partir par contre elle n'avait pas finie avec cette conversation et il était bien trop facile de la laisser planter là comme une plante. " Reste là bon sang!" Elle avança dans sa direction pour qu'il ne puisse pas aller plus loin. " Tu va arrêter ça tout de suite sinon..." Trouve une belle menace Alix une grosse grosse menace. " Je te fais un câlin tout gênant dans cette rue ou tu viens souvent et tu sera affiché" C'était minable mais cela le ferait sans doute s'arrêter le temps de lui lancer une pique dont il avait l'inspiration. " Ne rejette pas tout le monde, je ne t'ai pas abandonné Wolfgang je ne suis pas partie à cause de toi et je suis revenue parce que je tiens mes paroles j'avais besoin de me durcir je l'ai fait et je suis de retour ..." Elle ne pouvait pas faire mieux après tout et puis elle était encore assez fragile de cette histoire avec son compagnon à l'armée et si elle parlait trop elle craquerait ce qui n'était pas à faire.

Made by Neon Demon
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Anonymous


Wolfgang - Retrouvaille ne rime pas toujours avec rigolade Empty
MessageSujet ☆ Re: Wolfgang - Retrouvaille ne rime pas toujours avec rigolade   
le sujet à été posté Ven 1 Déc - 16:15

// You oublie me ?
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé


Wolfgang - Retrouvaille ne rime pas toujours avec rigolade Empty
MessageSujet ☆ Re: Wolfgang - Retrouvaille ne rime pas toujours avec rigolade   
le sujet à été posté

Revenir en haut Aller en bas
 
Wolfgang - Retrouvaille ne rime pas toujours avec rigolade
Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Destiny is All :: Hors jeux :: It's over now :: Saison deux :: Scènes-
Sauter vers: