zachary j. fuller ◈ ryan gosling

Bonjour love, je m'appelle Zachary Fuller et j'ai 27 ans. Je suis né(e) le 15 juillet 1989 à Londres. Dans la vie je suis avocat et financièrement je suis plutôt riche. Je suis hétéro et fière de vous annoncez que je suis fiancé. J'ai également nombre de 0 frère et soeur et ma vie est comme la musique Love you like a love song de Selena Gomez. PS : je suis un scénario.


Zac est charmeur, il adore sortir, plaire et séduire. Mais dès que cela va un peu trop loin,il rigole et remercie la jeune femme, qui s'est fait prendre au piège, de l'avoir rassuré sur le fait qu'il sait toujours s'y prendre. En général cela passe pas très bien. La fille se sent très légèrement humiliée. Et c'est pas qu'il s'en fiche, mais sa fiancée est la seule qui compte à ses yeux. Zac est aussi très travailleur, il est devenu avocat en s'élevant avec une bonne éducation et du travail. Il est très fier de son métier d'avocat, mais ne passe pas son temps à se venter. Pour lui ce n'est pas le métier qui définit une personne. Zac est ultra romantique, il ne peut pas s'empêcher d'acheter des fleurs, des chocolats, des bijoux ou tout ce qui pourraient plaire à sa femme. Zac se fiche de ce qu'on peut dire de lui, il sait bien que l'on ne peut pas plaire à tout le monde. Surtout le frère de Pipper, ah qu'est-ce qu'il aime le narguer, lui rappeler que sa soeur est folle de lui! C'est vicieux, mais cela fait toujours plaisir à Zac. C'est une sorte de gentille petite vengeance. Et puis depuis le temps qu'ils se connaissent Gary ne devrait plus s'énerver pour si peu... à croire qu'il lui a fait vraiment une saloperie au lycée, mais en tous cas Zac ne se souvient pas.  Heureusement Eli l'apprécie, parce qu'il préfère tout de même bien s'entendre avec sa belle-famille. Zac adore la musique, il gratte des airs de temps en temps. Il aime aussi la littérature, et écouter Pipper préparer ses interventions avec les enfants. D'ailleurs quand ils abordent le sujet des gosses, Zac est toujours un peu nerveux. C'est un sujet sensible, on dirait que Pipper n'en veux pas... Il ne comprend pas pourquoi...



Sinon dans la vraie vie je m'appelle mystère :pouik: , mais sur le net je suis connu sous le pseudo de (a) . J'ai 21 ans et je vis en France. J'ai connu BAE par de la pub et je pense être présent(e) 4/7. Je trouve BAE cool   et pour finir je dirais commençons  :wantsex:

" Allez viens, on va rigoler! Je te jure je vais pas te lâcher! " suppliais-je ma meilleure amie de l'époque en la regardant avec cette persuasion caractéristique au fond des yeux et ce sourire adorable aux lèvres. Elle ne pouvait pas me résister. Elle secoua ses longs cheveux noirs d'un mouvement de main, les empoignant légèrement le temps de réfléchir plongeant ses pupilles bleutées dans les miennes " Ok, c'est bon, mais je te jure, si tu me lâches ENCORE pour une meuf, je t'accompagnerais plus JAMAIS dans tes soirées! " Elle eut à peine le temps de sourire et de finir sa phrase que je la serrais dans mes bras " YES! Tu vas pas le regretter. " rétorquais-je, heureux comme un beau diable, l'oeil pétillant. C'était une soirée étudiante tout ce qu'il y avait de plus banal, mais elle s'y sentait pas toujours très à l'aise. Contrairement à moi qui connaissais presque tout le monde. C'est pourquoi je lui lançais des regards rassurants, je la présentais à des beaux mecs, pour lui faire plaisir. Mais c'était comme si elle était dépourvue de toute attirance pour la gent masculine. Elle les rembarrait direct, dès qu'elle se faisait draguer. Au bout d'une demi-heure, elle vint me prendre par la main. Son geste me surpris. Puis elle me pria de la suivre sur le toit, la brise était douce. Son regard hésitant. " Qu'est-ce qu'il y a? " énonçais-je, presque inaudible, craignant le pire... " Zac... Je ... " 10... 9... " PUTAIN ON VA RATER LE NOUVEL AN VIENS! " lançais-je en l'attrapant par la main pour redescendre les escaliers quatre à quatre, 8...7... " ZAC ATTENDS! "  elle se déroba de mon emprise, au moment où nos pieds touchèrent le sol de l'étage, on entendait les étudiants décompter avec euphorie, la porte était entre-ouverte, puis je croisai son regard, mon coeur se mis à accélérer, comme si je pressentais quelques chose... Non, NON NON NON! Elle se jeta littéralement sur moi, me plaquant contre le mur pour m'embrasser fougueusement " BONNE ANNÉEEE, OUAAAIS! " entendis-je comme un bruit sourd, la peur au creux du ventre, j'ouvris les yeux, elle les avait fermé, elle souriait... Putain...Ne savait-elle pas que j'étais incapable d'aimer? Enfin, elle décolla ses lèvres des miennes, ses mains toujours posés sur mon torse, je ne savais pas quoi dire. On se connaissait depuis tellement d'années maintenant. Alors que j'allais parler elle m'arrêta " Ne dis rien... je sais que tu ne m'aimeras jamais, mais je voulais juste te dire ce que je ressentais... " murmura-t-elle, doucement, j'hochais la tête, compréhensif. Pour l'une des premières fois de ma vie, j'avais perdu mon sourire. Si je n'avais plus ma meilleure amie, je n'avais plus personne.


*3 ans plus tard*

" Zachary Fuller, l'éternel Dom Juan! " lança un de mes potes tout en me faisant l'accolade " Eric. " rétorquais-je avec chaleur, dans un sourire. " Alors pas de filles à ton bras ce soir? " me questionna-t-il, étonné " Et non cette année ce sont les études en premier! " déclarais-je en montrant un livre de droit que j'avais emmené au bar pour réviser dans un cadre qui me détendait. J'étais en première année, c'était extrêmement stressant même si j'étais juste à la fac de Londres. Mes parents avaient réussi par eux-même et même s'ils m'avaient toujours gâté ils pensaient que je devais réussir ma vie professionnelle avec le moins d'aides possible. Ils avaient voulu me transmettre la valeur du travail et de la volonté. Depuis petit, j'avais toujours été en tête de classe. Contrairement au comportement que je pouvais avoir en soirée ou avec mes potes, j'étais tout autre en réalité. J'adorais la littérature, quoi de plus séduisant qu'une fille entrain de lire un livre? Malheureusement le physique ne suivait pas toujours. C'est pas que j'étais superficiel, mais mon côté flambeur appréciait quand j'avais une jolie fille à mon bras. Certains pouvaient me trouver arrogant, mais je m'en fichais complètement. La vie est trop courte pour s'arrêter sur les choses négatives que l'on peut penser de nous. Et puis si une fois à la fin de ma vie, j'ai des regrets, au moins je ne ferais pas parti de ceux qui ont des remords.

*2 ans plus tard*

" Maman c'est trop! Fallait pas! " lui dis-je tendis qu'elle fondait en larme dans mes bras, ma petite maman... " J'ai pas besoin de ça... " murmurais-je, dans ses cheveux, ma mère se faisait âgée, elle était la prunelle de mes yeux. Plus que tout, j'avais peur de la perdre. " Fais-moi plaisir et prends cette clef, tu seras plus au calme dans un duplex que dans ton petit studio. Tu nous as prouvé que tu étais méritant. Tu es passé en troisième année en étant major de promo. Ton père et moi voulons te soutenir. " m'assura-t-elle en gardant la clef fermement dans ma main. Je la serrai dans mes bras, comme lorsqu' elle me berçait quand j'étais petit. " Mon petit garçon... " murmura-t-elle, comme apaisée. " Hey, j'ai bien grandi! Les femmes me courent après, tu sais... " riais-je alors pour la faire sourire en la regardant. Elle était trop sensible. J'essuyais une larme qui roulait sur sa joue. " Et tu me les présentes quand ces demoiselles? " entra-t-elle dans mon jeu, un petit sourire aux lèvres. " Ah ça, sûrement jamais! " si je devais un jour présenter une fille à ma mère, cela voudra dire que ce sera la bonne...

* 4 mois plus tard*

C'était la semaine d'intégration à la Fac, autrement dit des soirées tous les soirs pour bien commencer l'année. L'alcool j'en consommais en quantité modéré, j'aimais garder le sens des réalités et de ce que je faisais. Comme à mon habitude, j'étais entrain de charmer une jolie fille pour aller danser et qui sait plus si affinité... C'est à peu près à ce moment-là où mon regard tomba sur des yeux bleus électriques, des lèvres d'un vermeille pur et divin, de belles dents blanches vinrent timidement se montrer pour mordre sa lèvre inférieure. Mon coeur s'est arrêté.

La jeune femme lisait un livre. Elle semblait passionnée. Elle devais sûrement être maquée et ne pas être le genre de fille à se laisser emmerder par un gars comme moi. D'ailleurs un de mes potes échangea un regard avec moi, on l'avait vu en même temps et il alla à la chasse. Evidemment... C'était un jeu entre nous, de draguer les filles qui semblaient les plus inaccessibles. Mais au fond de moi, je me disais qu'il allait réussir alors j'allais me servir un verre. Près d'une minute plus tard mon pote s'asseya sur un tabouret à côté de moi. " Putain comment elle m'a jeté. Je te jure y a des meufs elles se sentent plus quand on les drague! Y en a plein des comme elles! " déclara-t-il, sûrement un peu vexé malgré son sourire. Curieusement, cela me fit rire. Une légère flamme s'alluma dans mon coeur quand je la regardais en buvant une gorgée de mon verre. " Même toi tu pourras jamais l'avoir! " me défia-t-il, je le regardais de travers, " Attends, tu me défies là? " quelque part cela me donnait le courage d'aller lui parler. " Aucunes femmes ne peut me résister. " déclarais-je dans un sourire en essayant d'oublier le nombre de râteaux que je m'étais mangé dans ma vie. Je vidais mon verre d'une traite et fixais ma proie. Elle était à l'autre bout de la salle, quelques étudiants dansant un slow nous séparaient. Cependant, plus je la regardais, plus je me sentais vulnérable. Alors je pris mon courage à deux mains et décidais de m'approcher. Elle lisait Corneille, Le cid... Qui ne connait pas ses citations?... " Qu'on est digne d'envie lorsqu'en perdant la force, on perd aussi la vie... " déclarais-je, un sourire aux lèvres. " Oh pardon, je t'ai spoilé? " ajoutais-je délicatement, emmerdeur, comme à mon habitude, le regard pétillant. M'asseyant à côté d'elle j'attrapais son livre, sans lui demander sa permission " Tu sais que c'est un drôle d'endroit pour lire du Corneille, ici? " la questionnais-je doucement en plongeant mon regard d'un bleu pénétrant dans le sien un sourire aux lèvres. " Mais si tu veux... Je peux t'offrir un verre? " demandais-je avec confiance en moi en me sentant naturellement  à l'aise avec la jeune femme. Je ne comprenais pas trop ce qu'il se passait, mais je me sentais attiré par elle comme jamais ce n'était arrivé... Au début elle me repoussa, puis elle finit par accepter le verre et rire à mes plaisanteries. Au bout d'une heure passée à rire et à discuter, le propriétaire nous mis tous dehors, quelqu'un avait averti les flics que de la drogue circulait et qu'il y avait des mineurs. Dans la foule sa main m'échappa, je faillis la perdre de vue, " Attends...! " elle ne m'entendit pas. Une fois dehors je l'ai vu monter dans une voiture. " Je ne connais même pas ton nom... " murmurais-je, sur le pas de la porte du perron, plus pour moi-même qu'autre chose. Je remarquais alors que je tenais son livre entre mes mains. J'ouvris la première page, sans vraiment réfléchir, un nom était griffonné en pâtes de mouche, à peine lisible : Pipper Hermann... L1

Mon coeur rata un battement, maintenant je savais ce qu'il me restait à faire.

Pendant des semaines, des mois, nous nous sommes vus, j'ai fini par gagner sa confiance et un soir tout se concrétisa. Elle me déclara qu'elle m'aimait et pour la première fois de ma vie, je pu répondre que c'était réciproque, sans que ce ne soit un mensonge. Je ressentais quelque chose d'inestimable qui me fit comprendre que c'était pour la vie. Qu'il n'y aurait jamais personne d'autre. Au bout d'un an, je lui présentai ma mère. Elle était heureuse que j'ai trouvé quelqu'un qui me rendait aussi heureux. Mon père, lui, aurait préféré que je choisisse une femme avec une profession qui rapportait plus d'argent. Cependant il appréciait sa vivacité d'esprit et sa culture générale. Il trouvait qu'elle avait de la conversation et avec le temps il finit par l'apprécier. Cela faisait six ans maintenant qu'on était ensemble. Je lui avais proposé maintes fois de venir emménager chez-moi, mais elle avait toujours décliné... Cependant, on était fiancés alors je me disais que ce n'était qu'une question de temps. Même si l'âge avançant, je voulais fonder une famille avec elle et que l'impatience me faisait parfois un peu de mal... Je gardais mon sourire et l'amour au fond du coeur. C'était la seule et l'unique, elle valait le coup... Mais j'espérais que cela puisse se faire avant que ma mère ne disparaisse... Elle était très malade...

Petit mot du Staff : J'adore ton histoire et ta plume, franchement ! En tout cas je pense qu'on pourra bien s'amuser avec ton personnage qui a beaucoup de potentiel, hâte de voir comment tu vas le faire évoluer ! Puisque la créatrice du scénario est d'accord avec ce que tu as fait, je ne peux qu'approuver !

Félicitations l'amour ! Tu as enfin passé l'étape délicate de la présentation ! Nous savons que ce n'est pas une mince affaire ! Et que parfois ce n'est pas évident. Nous sommes d'autant plus fières de toi !

Maintenant, nous allons te donner quelques petits liens par lesquels tu devras passer pour t'intégrer au mieux !

Première, ta fiche lien tu créeras des amis tu auras.

Deuxièmement, ton répertoire à rp tu feras pour t'y retrouver ça ira.

Troisièmement, tes demandes tu feras au plus vite on les acceptera.
(ton métier, ton logement) et si tu as besoin d'un lieu supplémentaire pour rp, c'est ici que ça se passera !

Quatrièmement,  les absences tu auras, au plus vite tu préviendras.

Cinquièmement : Un soucis tu auras, une Administratrice tu préviendras ! (Katerina; Federica; Keira et Violette)


Enfin, amuse-toi ! Éclate-toi ! Et surtout, encore bienvenue à la maison l'amour