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 (Eloïs) + et les fautifs se repassent la faute

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MessageSujet ☆ (Eloïs) + et les fautifs se repassent la faute   
le sujet à été posté Jeu 26 Oct - 20:52


Peu d'hommes sincères
Dieu sait qu'on est seul
Et les fautifs se repassent la faute.


Le monde de brute qui t'entoures te rend un peu plus malade chaque jour. Et tu te doutes bien que tu ne pourras rien y faire pour changer ça, quand bien même tu essaies de toute ton âme. La rage qui se concentre en toi s'est déversé dans des sujets qui te tiennent à cœur, tu hurles à l'injustice, tu la déteste, tu la dénonces à ta façon. C'est très certainement pour cette raison que tu avais suivi de très près l'affaire qui concernait la disparition de Marie Clinton, non pas que tu la connaisse personnellement, mais la façon dont les choses avaient tournées t'avais toujours fait tiqué. Tu te retrouvais donc en cette journée pluvieuse à la prison pour femme de Londres pour rencontré pour la seconde une personne avec qui tu étais en contact pour un article qu'on t'avais autorisé à écrire. Elle n'était pas n'importe qui, puisqu'Eva Lawson était la suspecte principale dans cette histoire et même si de nombreux éléments la ciblaient comme la coupable idéale, tu étais persuadé de son innocence.
Tu avais mis du temps à obtenir les autorisations nécessaire à ta première rencontre avec la jeune femme et il avait surtout fallut la convaincre de te parler à toi. Tu n'avais aucune idée de comment allait se passer votre premier entrevu, mais à ta grande surprise, ça semblait avoir convaincue la brune qui avait accepté que tu reviennes pour une seconde fois. Tu te retrouvais donc à passer les portiques, les contrôles et les fouilles pour entrer dans la salle des visites et t'installer à une table pour attendre l'arrivée de la personne que tu devais voir aujourd'hui. De nouveaux éléments avaient été dévoilés dans la presse et tu suivais de très près tout ce qui pouvais t'aider à l'innocenter. Tu espérais d'ailleurs qu'elle te parlerais plus qu'elle n'avait pu parler à certains de ses proches. Du moins, tu avais cru comprendre qu'elle n'était pas très bavarde.
Assis à cette table, tu as déjà préparé un bloc note et un crayon qui t'ont été fournis par la prison, aucun risque que tu puisses faire passer quoi que ce soit à la prisonnière de cette façon. Tu sais que c'est la procédure, mais tu n'aimes pas changer tes habitudes et ne pas pouvoir écrire dans ton carnet avec ton stylo habituel. Forcé à utiliser un vulgaire bloc note et un crayon de papier, tu crains de ne pas pouvoir prendre de notes comme tu le voudrais. Tu n'as pas préparé de question pour aujourd’hui, tu veux simplement parler avec elle, connaitre sa version de l'histoire, sa façon de voir les choses. Même le pire, tu n'es pas ici pour faire d'elle un ange, mais pour dévoiler dans ton article qui elle est vraiment et trouver une preuve de son incarcération trop rapide et sans assez de preuves matérielles. Tu trépignes déjà, tu crèves d'envie de pouvoir dévoiler au monde ce qu'ils s'amusent à ignorer. Tu es persuadé qu'elle n'y est pour rien dans cette affaires et quand bien même elle n'avait pas l'air de regretter ce qui avait pu arriver à mademoiselle Clinton, la simple haine n'était qu'un simple mobile et loin d'être une preuve suffisante à son incarcération. Et tu savais pertinemment que même si elle s'avérait être la véritable coupable, tu ne pourrais jamais réellement en vouloir à la jeune femme. Tu avais rencontré Marie à deux reprises et tu avais toi aussi eu des envies de meurtres en lui parlant. Qui n'aurait pas envie une fois dans sa vie d'étrangler une petite prétentieuse cupide et égocentrique de toute façon ? Bien qu'évidemment cela ne soit en rien une excuse, tu pouvais comprendre qu'on ai eu envie de lui faire du mal à cette rouquine hautaine.

Le ciel aussi pleure après la dépression, je trouve l'idée précieuse
Nu, à genoux sous un nuage noir
Les seules vraies réponses sont des questions

@Eva J. Lawson
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MessageSujet ☆ Re: (Eloïs) + et les fautifs se repassent la faute   
le sujet à été posté Jeu 26 Oct - 23:57

>
et les fautifs se repassent la faute.
feat Aloïs Rosenwald
Je ne savais pas ce que je ressentais à vrai dire de tout cela, de toute cette agitation autour de moi… Je ne parle pas que de l’extérieur, des personnes qui m’avaient abandonnés, qui m’avaient poignardé d’autres encore qui ne m’avaient jamais parlé de leur vie… Désormais tous à vouloir me voir, vouloir me parler, à ce que je leur dise mon histoire. A qui reviendra le meilleur papier… Car évidemment, ce n’était pas moi qui les intéressaient, c’était le sujet que je représentais parce que j’allais bientôt mourir d’ici quelques semaines. Le scoop de l’année, c’est un fait. Mais il n’y avait pas qu’eux, il y avait à l’intérieur de cette prison aussi où tout était devenue si calme, on me donnait tout ce que je voulais… J’aimais le gâteau qu’ils servaient aujourd’hui ? Des prisonniers me donnaient leur part.

J’en avais marre de ne pas être considéré comme avant, être traité comme avant. Les gens voulaient être gentil, mais j’en avais rien à foutre de leur gentillesse, cela m’écœuré. Je n’avais jamais aimé qu’on me traite avec pitié ou compassion, alors ce n’était pas aux dernières semaines de ma vie que j’allais apprécier. Je n’avais pas peur de mourir, je m’étais faîte à l’idée et je voulais passer le reste de ma vie tranquille, seule si possible et qu’on cesse de vouloir passer du temps avec moi, je m’en foutais totalement, je n’allais pas changer, je n’allais pas fuir, je n’allais pas me pisser dessus. Je n’avais pas peur, j’avais accepté mon sort et je voulais qu’on me laisse le temps de profiter. Je ne demandais pas grand-chose au final.

J’étais dans ma piaule, j’avais le lit du bas… Je le préférais nettement que celui du haut. Mais peu importe, j’étais seule maintenant et j’étais isolée depuis que j’avais été condamnée à mort, il y a seulement quelque jour. Je me levai et je m’installais sur le rebord du lit afin de regarder devant moi le mur. Je penchai la tête, j’avais gravé sur la pierre mes options… Ils étaient gentils, dans l’histoire ils me laissaient le choix de comment je voulais mourir, voulais-je qu’on m’électrocute ou bien qu’on m’injecte un produit qui remplirais mes poumons comme si je me noyais. Je posais le pour et le contre, c’était la première chose que je voyais quand je me levai pour commencer une journée.  

J’étais justement en train de regarder ce mur, avec les questions les plus fatidiques, comment je voulais mourir, que voulais-je pour mon dernier repas, qui voulais-je voir pour ma dernière visite, ma dernière demi-heure de vie… Avec qui je voulais partager ce temps. J’avais le choix de deux personnes maximum. J’avais eu hier rendez-vous avec mon avocat et un notaire, afin de revoir mon testament. Bref, je secouai la tête pour retrouver mes esprits quand une gardienne, Talia, m’annonça que j’avais de la visite… Au prénom de la personne, je savais qui c’était et j’hésitai à accepter de le voir, sa présence était comme les autres, un bon sujet pour le papier, ce n’était pour rien d’autre.

Je restai silencieuse un instant, Talia ne dit rien… Elle avait appris à me connaître depuis ces dernières semaines, et elle savait qu’à l’heure actuelle un milliard de question me traversaient l’esprit, de tout, de rien. J’étais une personne dont le cerveau ne cessait de s’activer, elle l’avait compris et contrairement aux autres, elle me brusquait pas, elle me laisser le temps « Très bien » Fis-je donc en me levant. Je me donnai un coup d’eau, je me lavai les dents et je m’attachais les cheveux. C’était mieux ainsi, avec le manque de fer et de vitamine mes cheveux n’étaient plus que cassant, mourant tout comme moi. Une fois prête, je suivie Talia voir mon visiteur.
☾ anesidora
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MessageSujet ☆ Re: (Eloïs) + et les fautifs se repassent la faute   
le sujet à été posté Ven 27 Oct - 18:18


Peu d'hommes sincères
Dieu sait qu'on est seul
Et les fautifs se repassent la faute.


Tu ne la connais pas plus que ça la brune, pourtant, t'as une entière croyance en son innocence. Tu l'as vu dans son regard la première fois que tu l'as croisés. Et pour une fois dans ta vie, tu as réellement su que tu voulais te battre pour une cause, que tu voulais être utile. Tu te doutais bien que t'étais pas le seul pseudo journaliste à t'être penché sur cette histoire, à lui avoir demandé son avis. Mais t'étais certainement l'un des rares à en le faire que pour prouver son innocence. Tu ne te souvenais plus vraiment si elle avait avoué ou si elle avait simplement eu à accepter sa sentence, mais tu te fichais pas mal de tout ça, ce qui t'importais c'était de foutre un coup de pied dans la fourmilière de la justice, de les déstabiliser en pointant du doigt les failles d'un système trop bancal. Tu ne stress plus le moins du monde dans ces locaux, comme si t'y avais passé des jours alors que tu n'y était que pour la seconde fois dans ta vie. Tu avais également entendu dire qu'un procès était en préparation et tu espérais plus que jamais qu'elle accepte de te revoir pour te parler.
C'est donc un soulagement quand la tignasse brune apparaît dans ton champs de vision. La prison change les gens mais tu la reconnait malgré tout. Eva Lawson est loin d'être la fille qu'elle était avant son entrée, son jolie teint, ses cheveux soyeux. Tout n'est que souvenirs ensevelie par la haine et hantise de la prison. Elle est pâle, elle pue la mort avant même d'en être la victime. Tu sais qu'elle est sur le point d'être exécuté et tu pris parfois pour réussir à trouver la preuve qui la disculpera de toutes les accusations qui pèse sur elle. Pourtant, tout porte à croire qu'elle est foutu. Si elle a accepté de te voir, tu compte bien à ce que ce rendez-vous soit le plus utile possible pour elle. Elle qui doit te prendre pour l'un de ces énièmes vautour qui cherche le scoop du siècle. Elle s'installe face à toi, garde le silence, te toise presque. Mais tu ne perds pas la face. Tu lui lance un regard franc, direct. Tu ne cherches pas à te défiler. Tu veux qu'elle sache que pour une fois, la personne en face est de son côté, même si elle ne te connais pas.
« Mademoiselle Lawson. » commences-tu. « Je vous remercie d'avoir accepté de me voir, je me doutes que je ne dois pas être la seule personne a essayé de vous parler. » Tu avales ta salive lentement, attendant une réaction. Tu sais qu'elle peut être froide et agressive comme elle pourrait être simplement docile. Mais Lawson n'est pas ce genre de personnage. De loin. Elle est tout simplement sur la défensive, elle en a le droit et surtout les raisons. « Je ne suis pas ici pour vous soutirer des informations en fait... Plutôt pour savoir ce que vous, vous voulez que les gens sachent. » et tu t'abstiens de parler de l'affaire, parce que si elle veut en parler, elle le fera. Tu ne forceras pas. Pas cette fois. Tu lui laisse le choix de ce qu'elle va dire, le bon comme le mauvais. Tu lui tends la main, à elle de décider si elle accepte ton aide ou non. Si malgré tout, elle se rendra compte que des gens dehors sont prêts à lui venir en aide, envers et contre tout. Qu'elle n'est peut-être pas si seule et que ce qu'on dit dans la presse n'est qu'un ramassis de conneries.

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@Eva J. Lawson
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MessageSujet ☆ Re: (Eloïs) + et les fautifs se repassent la faute   
le sujet à été posté Mer 8 Nov - 18:01

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et les fautifs se repassent la faute.
feat Aloïs Rosenwald
Après un bon moment je décidai d’accepter cette visite, je ne connaissais pas tellement ce mec, mais il m’avait l’air sympa. Bien entendu je savais très bien ce qu’il voulait et que ce n’était pas pour moi qu’il venait, c’était pour mon histoire. Mais à vrai dire, je m’en foutais. Je l’avais déjà dit pleins de fois au flic et j’avais acceptée de dire quelques mots pour mon ancien professeur Arthur Connor, il m’avait proposé si jamais ce sortait de m’aider à écrire à livre, je crois que ce plan est foutu à l’eau puisque désormais j’étais condamnée à mort et que j’allais perdre la vie d’ici quelques jours. Je pensais lui donner un rendez-vous et que je lui raconterais toute mon histoire au pire, même si je n’ai pas une vie très intéressante, le fait est que j’étais une meurtrière condamné à mort, si Arthur écris ma biographie, il deviendra riche.

M’enfin bon, j’étais en compagnie de Talia, ma gardienne privée. Quelle chance j’avais. Elle me dirigea donc vers le jeune homme et je m’installai devant lui. Je me taisais, je n’avais rien à lui dire moi après tout, c’était lui qui voulait me voir donc c’était à lui de parler. Je pense qu’il a compris que je ne parlais pas puisque il commença la discussion « Excuse-moi hein, mais je crois que nous avons plus ou moins le même âge, donc pas de manière avec moi… Appel moi Eva » Répliquais-je donc en le coupant dans sa lancée, après tout, autant mettre les choses aux clairs « Tu peux me tutoyer aussi, de toute façon, je vais bientôt mourir alors maintenant je m’en fou un peu des civilités si tu vois ce que je veux dire, je m’arrête pas là » Repris-je donc.

Je restai tout de même un peu silencieuse « Mais oui, tu n’es pas le seul et pendant mes derniers jours sur terre, tu ne seras pas non plus la dernière personne à vouloir m’empoisonner et à gâcher mes derniers instants à évoquer l’histoire qui m’a littéralement détruit et bientôt carrément à néant et cela pour toujours » Répondis-je en ne prenant pas la peine de sourire, de toute façon, je n’étais pas le genre de fille à sourire si j’en avais pas envie toutefois, je me mis à rire à la suite de ses propos, croyait-il vraiment m’avoir en me reformulant ses intentions alors qu’au final « Tu sais, ce serait plus simple, plus rapide et plus sincère que tu me dises que tu veux que je dises certaines choses pour que tu puisses écrire un papier » Lui dis-je clairement  « Tu l’a peut-être reformuler d’une certaine façon, peut-être que c’est vrai, tu veux savoir ce que je pense ou ressent, mais finalement c’est au même résultat » Dis-je donc droit au but.

Je n’étais pas non plus le genre à vouloir bien me faire passer que je connaisse ou non, j’étais moi-même quoiqu’il arrive, que je sois sur le point de mourir ou non, je ne changerai pas.
☾ anesidora
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MessageSujet ☆ Re: (Eloïs) + et les fautifs se repassent la faute   
le sujet à été posté Mer 22 Nov - 0:50

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MessageSujet ☆ Re: (Eloïs) + et les fautifs se repassent la faute   
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