Entretien d’embauche

Andrew & Evan

Depuis quelques temps déjà j’avais repris les rênes du bar puisque mon patron était partie en retraite bien méritée et comme il ne voulait pas le vendre à n’importe qui il m’avais proposé de lui racheter ses parts du bar et bien sûr j’avais accepté et comme j’avais reçu la moitié de mon héritage de mon père j’avais sauté sur l’occasion de racheter le bar, maintenant ce lieu était à moi et je ne regretter pas de l’avoir acheter même si je sais que j’allais entendre la colère de ma grande sœur chérie en me balançant dans la figure du fait que acheter ce bar était un achat impulsif , que j’ai fait n’importe de quoi et que ce bar n’allait pas tenir la route avec moi en étant gérant de ce bar mais je n’avais que faire de ses remarques, c’était pas ma vie et je fessais ce je voulais, elle n’avait rien à dire elle n’est pas notre mère et elle prendra jamais sa place qu’elle reste à sa place dans son petit cocon douillet et ennuyant.

Aujourd’hui je fessais passer des entretiens d’embauche, j’étais à la recherche d’une ou d’un serveur pour m’aider étant donné que j’avais l’un des barmans que j’avais surpris en train de voler dans la caisse un soir lors d’une fermeture du bar et manque de bol pour lui j’étais venu voir si tout était ranger dans la salle et bien sûr je l’ai viré sur le champ en refusant de lui donner sa paye de ce mois-ci. J’étais dur comme patron mais c’est comme ça on me volait pas à moi et puis il a eu de la chance que je ne porte pas plainte contre lui. Bref j’étais installer à l’une des tables qui y avait dans le bar, installer sur ma chaise, j’avais devant moi une dizaine de CV à coter de mon bloc note.

Je venais tout juste de finir un entretien et je dois avouer que j’étais bien content que cet entretien soit enfin terminé parce que le mec que j’ai reçu en entretien était à mourir d’ennuie, il m’avait pratiquement raconté sa vie mais malheureusement pour lui il n’aura pas le job ne voulait pas prendre le risque qu’il fasse fuir les clients et qu’il fasse une mauvaise image du bar. J’étais ravie de vous recevoir, je vous tien au courant de ma décision, vous savait où est la sortie à bientôt. Dis-je en serrant la main au jeune homme et lui fait un faux sourire. Je lâche un soupire une fois qu’il avait quitté le bar.

Je me dirige derrière le bar, j’attrape un verre de whisky et la bouteille de whisky et renverse le contenu dans le verre en le buvant cul sec, la porte du bar s’ouvre une personne rentre puis elle s’approcha du comptoir pour se présenter, c’était un jeune homme blond pas loin de la trentaine. Bonjour vous venait pour l’entretien ? Dis-je envers le jeune homme que j’avais en face de moi et lui tendis ma main en guise de bonjour.

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Je marchais dans la rue, relevant le col de mon manteau remettant vite les mains dans mes poches. Putain le temps s’était pas mal refroidit ces dernier temps. Ma casquette sur la tête j’avais essayé de me protéger du froid, à défaut d’avoir un chapeau. Enfin au moins j’avais commencé à me laisser pousser la barbe. Plus besoin de garder les cheveux coupé court ou encore se raser proprement tous les jours depuis que je n’étais plus garde du corps. Je soufflais. Ca faisait toujours mal de me dire que j’avais abandonné mon boulot à l’embrassade. Abandonné… Je secouais la tête. J’avais passé trois jours à boire et à dormir comme un malheureux avant de finalement me ressaisir un peu. D’où mon entretient aujourd’hui entre autre.

Barman. Je n’avais que peu d’expérience. La majorité remontait à un job étudiant que j’avais effectué. Mais il me fallait un boulot alors… Bien sûr j’aurais préféré un truc dans la sécurité, un truc pour lequel j’étais formé actuellement. Mais mon loyer n’allait pas se payer tout seul, ni la nourriture. En parlant de nourriture : je finis par arriver à destination et m’arrêtais devant les portes du bar, regardant l’adresse note sur un bout de papier. Je me donnais un coup de pied au cul mentalement et finis par pousser la porte. Une chaleur agréable m’accueillit et je me détendis, frottant une main contre l’eau. Je regardais autour de moi avant de m’avancer vers le bar et l’homme se tenant derrière. Je tentais un sourie, mais il était loin d’être joyeux.

« Oui, Andrew O’Connel, bonjour. »

Je tendis ma main à mon tour et serrais la sienne. Une poigné de main franche. J’enlevais alors ma casquette et mon manteau, sans pour autant m’asseoir.

« Du coup… Vous voulez savoir quoi ? »

J’avoue être assez défaitiste vis-à-vis de mes chances de décrocher ce boulot. Mais je tente le coup. Je sors de chez moi, j’essaye de m’en sortir. Et d’oublier.

Entretien d’embauche

Andrew & Evan

Le premier entretien que j’avais passé y a peu de temps avait était une vrai catastrophe le mec que j’avais reçu ne correspondais pas du tout au type de personne que je rechercher, bien sûr j’étais gentil avec parce que y longtemps que je l’aurais foutu dehors avec un coup de pied au cul mais j’étais rester courtois envers ce mec. Ravie d’avoir enfin cet entretien qui avait était une séance de torture pour je me dirigeai directement derrière le bar et me renverse du whisky dans un verre et le bu cul sec, à ce moment précis j’avais eu besoin de prendre quelque chose de fort pour affronter le prochain entretien, j’espère que la prochaine personne que passera l’entretien ne sera pas comme le mec que j’ai reçu.

J’étais toujours derrière le bar le verre de whisky vide dans la main, je m’apprêter à me verser une autre de whisky lorsque j’entends la porte du bar s’ouvrir et aperçoit une personne rentrer, la personne portait une casquette sur la tête son col de manteau relever, il s’approche doucement de moi sans qu’il est le temps de se présenter j’avais pris les devants en lui demandent si il était là pour l’entretien, le jeune homme se présente rapidement et me confirme par la suite qu’il était là pour passer l’entretien. Nous nous serons la main mutuellement en guise de bonjour restons poli tout de même.

Pendant que le jeune enlève sa casquette et son manteau, je quitte le comptoir du bar et m’approche de la table ou un tas de papiers trainer dessus puis je reprends la place ou j’étais assis tout à l’heure puis le jeune homme s’approche de moi en tenant mon manteau et sa casquette dans les mains puis resta planter devant moi comme une plante verte puis il avait aussitôt repris la parole en me demandent ce que je voulais savoir de lui. Tout d’abord asseyez-vous Monsieur O’Connel, vous n’allez pas rester debout. Dis-je en l’invitent à s’asseoir en face de moi. Le temps que le jeune homme s’installe sur la chaise devant moi je profite pour chercher son cv que je n’avais pas trop de mal à trouver. Bien monsieur O’Connor raconter moi votre parcours. Dis-je en m’adressent au jeune homme que j’avais en face de moi en croissant mes jambes tout en jouant avec mon stylo que j’avais dans les mains à l’entendent que le jeune homme prenne la parole.

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Je serais la main du patron, avant de demander ce qu’il voulait savoir. Ma veste et ma casquette en main. Je ne savais pas ou me mettre et puis le fait que je sois défaitiste vis-à-vis de ce boulot me coupait aussi un peu. Ce n’était pas que je n’avais pas une haute estime pour le boulot de barman, mais simplement le fait d’avoir raté un boulot pour lequel j’étais passionné, ça me bouffais le moral. Enfin. Je pris place alors qu’il m’y invitait. Je vis alors le gars trouver mon cv. Ca va j’avais postulé avec une photo plutôt correcte. Peut-être un peu militaire, mais correcte quand même. Je me redressais légèrement alors qu’il me demandait mon parcours.

« J’ai entamé la formation militaire pour faire partie de la Navy mais j’ai du arrêter au bout de 1 ans et demi, mon daltonisme n’ayant pas été diagnostiqué avant. Ensuite j’ai travaillé comme garde du corps pour la famille royale durant neuf ans. Du coup c’est à peu près tout. »

J’étais pathétique à vouloir postuler dans un bar alors que mon expérience se résumait à prendre des bières de mon frigos pour les boires. Ou à me saouler après une rupture par messages. Cependant je devais bien payer mon loyer du coup je rajoutais :

« Je me doute que ma non-expérience dans l’Horeca joue en ma défaveur, mais je me suis dit si jamais vous avez besoin d’un videur, même si l’annonce spécifiait un barman. Sinon j’apprends assez vite. »

Mes arguments étaient misérables. En sois j’étais misérables. Pas capable de faire la marine, encore moins de rester professionnel en tant que garde du corps. Mais bon, je devais vraiment trouver de quoi payer mon loyer et ma nourriture.