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| Sujet ☆ Quand je te regarde je sais pourquoi j'existes le sujet à été posté Jeu 28 Déc - 22:11 |
| En tant que prof de musique j'avais ce qu'il fallait à la maison pour pouvoir m’exercer, au début ça avait été dur vu le petit appartement dans lequel vivait Nathan il m'était impossible de tout emmener, mais on avait décider de prendre un logement plus grand depuis le piano trônait dans le salon. ayant un cours important demain, j'avais décider de m'exercer un petit peu. Je jouais donc ce morceau que j'affectionnais tant. Demain j'avais une de ses jeunes filles de bonnes familles en élèves et autant dire qu'elle ne se gênait pas pour essayer de faire en sorte que tout aille mal. Une capricieuse, donc je faisais toujours en sorte de préparé mon cours à l'avance pour ne pas avoir trop de débordement. |
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| Sujet ☆ Re: Quand je te regarde je sais pourquoi j'existes le sujet à été posté Dim 31 Déc - 4:13 |
| Quand je te regarde je sais pourquoi j'existes Je rentrais enfin pour une journée de repos complète, cela m'embêtais un peu car Eva avait eut le malheur de tomber sur ma collègue qui était la pire des garce, mais je ne pouvais pas refuser un peu de détente, et j'avais surtout besoin de passer du temps avec eux. j'avais pris une douche avant de rentrée pour pouvoir passer le plus de temps possible avec les hommes de ma vie. en rentrant je vis que la voiture de Nathan n'étai pas là.
Je n'en fit pas de cas, après tout je le verrais plus tard. en rentrant dans l'appartement j'entendis une douce mélodie, Kevin était en train de jouer du piano, je ne fis aucun bruit et écouta. Aux yeux de tous Kevin n'étais que notre colocataire, un homme distant et froid, mais il était loin d'être comme ça, c'était un coeur tendre, bien qu'au lit c'était un amant un peu plus violent que Nathan, mais au moins avec les deux j'avais aussi bien de la tendresse que de la brutalité et cela était juste parfait. Je me glissait enfin derrière mon deuxième petit ami, en mettant mes mains autour de son coup et l'embrassa dans le cou, ce n'est pas pour autant qu'il arrêta de jouer il était imperturbable sur ça. je posais donc ma tête sur son épaule et écouta mon petit ami jouer. Une chose que je faisais souvent quand il jouait à la maison, et surtout quand il jouait du piano. |
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