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 Žarko A. Adzovic ◈ Jon Kortejanera

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Žarko A. Adzovic ◈ Jon Kortejanera Empty
MessageSujet ☆ Žarko A. Adzovic ◈ Jon Kortejanera   
le sujet à été posté Ven 11 Nov - 8:47

Žarko A. Adzovic
Oh honey, i'll miss you...
Bonjour love, je m'appelle Žarko A. Adzovic et j'ai 23 ans. Je suis né(e) le 5 septembre à Zagreb. Dans la vie je suis mannequin et ancien policier et financièrement je suis plutôt pauvre/dans la moyenne/riche. Je suis hétérosexuelle et fière de vous annoncez que je suis célibataire. J'ai également nombre de sans famille et ma vie est comme la musique Slow Down de Selena Gomez. PS : je suis inventé.


Les gens jugent plutôt vite de nos jours, de là ton arrogance envers ceux que tu ne connais pas. Tu es arrogant naturellement, tu ne te forces pas, bien que ce soit un défaut, tu en es fière. Tu es quelqu’un de pudique qui ne montre pas trop ses sentiments, cela peut être une qualité comme un défaut aux yeux de certains. Tu ne parles pas beaucoup, tu es quelqu’un de calme, qui préfère draguer à son aise, dans son coin. Tu es une de rare personne dans ce monde qui réfléchit à ce qu’il dit et qui ne parle pas pour rien. Depuis ton plus jeune âge, ton père t’a appris d’être quelqu’un de poli, surtout envers les personnes âgées, un bonjour, merci et au revoir ne coûtent rien. Comme tous les hommes, tu peux être jaloux et possessif, surtout envers les gens que t’aimes, bien qu’il n’y en n'a pas beaucoup vu que tes amis sont à compter sur une seule main. Tu as le don d’être un peu trop sarcastique dans tes propos, certaines personnes te trouvent drôle, certains n’apprécient pas cette facette de ton caractère, mais tu t’en fiches. Tu es très prétentieux, tu veux toujours être chique, nouvelle collection de vêtements, smartphones, etc, tu n’aimes rien de ce qui a déjà été utilisé. Tu juges facilement les personnes ont, elles te conviennent et tu acceptes de parler avec eux, soit tu ne les supportes pas et seras d’une froideur incroyable afin de lui faire comprendre que tu ne l’aimes pas. Dans ce cas, tu ne lui laisserais aucune chance. Au boulot, tu es quelqu’un de sérieux, lorsque tu étais policier, tu n’hésitais pas à te jeter devant quelqu’un afin d’éviter qu’il se fasse blesser, tuer. Lorsque tu as pris une balle dans le thorax, c’était pour qu’un homme politique ne se prenne pas de balle dans la jambe lors d’une intervention délicate. En tant que mannequin, tu prends un plaisir fou à faire plaisir au photographe et son objectif afin d’offrir les plus belles photos. Avant, lorsque tu étais encore policier, tu étais l’ennemi des délinquants riens qu’à voir ton uniforme, depuis que tu as laissé tomber les services fédéraux, ils te considèrent comme un gars qui se la coule douce sur des plages avec des femmes bien foutues et viennent même te voir pour avoir le numéro de certaines d’entre elles. Tu es souvent sûr de toi, tu es content dont ce que la vie t’a offert. Tu connais la valeur des choses et de la vie et sais pertinemment que tu peux perdre la vie à tous moment. Tu es quelqu’un d’égoïste, tu n’aimes pas partager ce qui t’appartient. Tu fais souvent des dons à des bonnes causes, que ce soit en argent, vêtement ou des vivres, tu resteras une personne généreuse. Tu fais souvent confiance à ton intuition quand il faut que tu prennes des décisions banales, mais lorsque tu prends une décision importante, tu réfléchis. Tu as pour habitude d’étudier chaque parole es gens dont tu ne connais pas afin d’être sûr de démêler le vrai du faux, de savoir s’ils disent la vérité ou un mensonge. Tu es du genre à ignorer ton ennemi, lorsque tu es en conflit avec quelqu’un et qu’il vient te provoquer, tu préfères l’ignorer pour éviter d’envenimer les choses entre vous. Tu es une personne franche, tu vas dire ce que tu as à dire à une personne à elle et seulement elle, tu ne passes pas par Pierre, Paul ou Jacques avant de le dire à la personne concernée. Tu peux paraître directe, mais juste. En soirée, tu n’hésites pas à te battre pour évacuer ta colère, cette haine que tu entasses depuis la disparition de ton père. Tu es actuellement dans une petite dépression, lorsque tu repenses à ton père, tu t’isoles seul chez-toi et commences à boire, mais tu es en cours de traitement chez un psychologue. 



Sinon dans la vraie vie je m'appelle Bryan, mais sur le net je suis connu sous le pseudo de Moutarde. J'ai 19 ans et je vis en Belgique. J'ai connu BAE sur PRD et je pense être présent(e) tout les jours. Je trouve BAE MAGINIFIQUE
OUVRE:
et pour finir je dirais LA BELGIQUE VA VOUS COLONISER

Code:
[color=#ff0000][b]Jon Kortejanera[/b] ◈ [i]Žarko A. Adzovic[/i][/color]
electric bird.


Dernière édition par Žarko A. Adzovic le Ven 11 Nov - 9:02, édité 3 fois
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MessageSujet ☆ Re: Žarko A. Adzovic ◈ Jon Kortejanera   
le sujet à été posté Ven 11 Nov - 8:54

Mon histoire en exclusivité
Une petite citation toute mignonne.
San Francisco, samedi 5 septembre 1992 à 20: 45. C'est ce jour-là que commençait ta vie. Le début d'une longue vie de hauts et de bas prit son envol par une belle journée ensoleillée sous le soleil de San Francisco. À peine né que tu étais déjà sous des palmiers quelques jours après être sorti de l'hôpital. Bien que tu n'aies aucun souvenu de ses premières vacances familiales cela reste une anecdote à raconter à tes enfants et petits-enfants. Tu as grandi dans une petite banlieue de Zagreb en Serbie pendant plus de 20 ans. Tu as étudié dans les plus grandes écoles du pays, tes parents avaient largement les moyens de t'offrir des études de haute classe. Depuis ton plus jeune âge, tu savais ce que tu voulais faire étant une grande personne, tu voulais devenir policier. Bien que ta mère s'y opposait, tu voulais poursuivre ton rêve d'enfant. À l'âge de seulement cinq ans, ta mère rentrait à l'hôpital sans plus jamais en sortir. Tout ne savait pas ce qui s'abattait sur toi. Tu ne ressentais plus sa présence, mais restais positif et te disais qu'elle allait revenir.


Zagreb, vendredi 5 septembre 1997.[/color] C'est ton anniversaire, bien qu'il soit un goût amer. Tu savais que cet être n'était plus auprès de toi pour te faire un câlin, te féliciter, te faire à manger. Tu ressentais un vide dans ton cœur bien que ton père te rende heureux. Le téléphone fixe de ton domicile retentissait, ton père prenait sa douche afin de rejoindre son travail, mais tu savais comment faire, tu l'avais déjà vu faire. Tu te dirigeais vers le téléphone fixe et l'amenais vers ton oreille en parlant « Allô ? C'est Žarko » dirais-tu d'une voix innocente. C'était un homme se présentant. Un certain docteur William qui te parle. « Bonjour, monsieur Adzovic, docteur Williams au téléphone. Il faut que vous veniez à l'hôpital, votre femme vit, ses derniers instants. » tu ne lui répondais pas, tu te posais au sol, prenant une photo de ta mère et laissais les larmes te couler sur les joues. Ton père arrivait en catastrophe et s'apercevait au sol, écrouler. « Allo, monsieur Adzovic? » entendait-il, il prenait le téléphone posé à côté de toi et prenait la parole « oui ? C'est qui ? » l'homme était embarrassé au téléphone, il a compris qu'il n'avait pas le père, mais le fils au téléphone. Ton père te serrait dans ses bras, essuie tes larmes. D'une petite voix, tu prenais la parole « je sais que maman est au paradis ne dis pas le contraire » disais-tu du haut de tes cinq ans. Il t’embarquait une dernière fois en direction l'hôpital afin d'aller voir ta maman une dernière fois, la serrer, l'embrasser une dernière fois. Rien que d'y penser ne te n'a qu'une seule envie, vomir. Pourquoi elle ? Pourquoi ? Qu'a-t-elle fait de mal ? Tu ne cessais pas de pleurer dans la voiture, la tête posée sur la vitre, tu regardais la route en te remémorant les derniers instants avec cette femme qui t'a donné la vie, celle qui t'a élevé, te faisait à manger, te consolait lorsque j'allais mal. Arrivé à l'hôpital, tu marchais d'une vitesse incroyable en direction de la chambre. Dans la chambre, ta mère était prête à rejoindre un monde meilleur et tu la serrais fort pour la dernière fois et tenant sa main en prononçant quelques mots je t'aime, maman, ne me laisse pas, je ne suis même pas grand ! Réveille-toi sa main te caressait, c'était sûrement le reste d'énergie qui lui resta. D'une petite voix, elle te demandait une dernière faveur. Prend soin de papa, tu veux ?


Tu hochais la tête en guise de réponse, mais sans plus. Tu la suppliais de rester éveillée, mais tes efforts ne servaient à rien. « те, мама » étaient les seuls mots que tu savais prononcer en serbe, la langue de ta maman. Les machines s'arrêtaient, elle était dans un monde meilleur, tu pleurais de plus en plus fort et te mettais à crier. Le monde s'écroulait sur toi, tu ne voulais plus rien, plus personne. Cette journée était censée être inoubliable.


Tu as mis longtemps avant de faire ton deuil. Jusqu'à tes dix-huit ans, tu n'y croyais pas, sauf qu'un jour, il fallait bien te faire une raison et qu'elle n'allait pas revenir. Tu étudies encore et comptais devenir policier. Après deux ans d'études en plus, tu étais diplômé en tant qu'agent de sécurité. Tu allais durant deux ans à l'école de police, l'épreuve la plus dure. Après plusieurs tentatives d'examens, tu es enfin un policier diplômé, tu décidais donc de rentrer au FBI qui eux t'envoyaient quasiment trois jours après ton arrivée aux États-Unis, dans là de ville de Londres afin d’enquêter sur plusieurs meurtres et plusieurs enlèvements. Tu t'installes dans une grande maison. Tu te plais à plus que tout à Londres, dans le quartier chic appeler Aventura, bien que tu n'oublies pas d'où tu viens. Chez toi, tu décidais de faire un coin dédié à ta maman, avec une immense photo d'elle entourée de fleurs. Pour être honnête, tu vis plutôt bien, tu es même plutôt chanceux d'un côté, tu as gagné les gros lots dans un casino où tu étais de passage, ce qui t'a permis d'agrandir encore plus ta maison. Les mois s'écoulent, tu as maintenant vingt-et-un ans, presque vingt-deux un nouveau coup dur dans ta vie lorsque l'hôpital t'appelait à toi pour te prévenir que ton père s'y trouvait. Il avait fait une thrombose, le laissant plus qu'à cinquante pour cent de ses capacités, le côté droit de son corps ne répondait plus. Tu décidais donc de l'emmener à Londres avec toi afin de t'en occuper et en profiter un maximum et de le garder en vie le plus longtemps. Tu savais pertinemment que tu ne réussirais pas seul, tu engageais donc durant la journée une aide-soignante à domicile qui s'occupait très bien de lui durant des huit à dix heures de travail. Durant tes jours de congé, tu embarques ton père en voiture et ensuite en chaise roulante afin de le faire profiter de la vie. Une fois une ballade par-ci, ensuite par là, manger là, puis là-bas. Tu adaptais la maison aux besoins de ton père. Un beau jour, lors d'une visite de l'hôpital, on nous annonçait une bonne nouvelle, il sera remarché un jour, mais à l'aide d'une canne, bon ok, il a une canne, mais ce n'est toujours mieux que rien. Ton père est ta vie, l'homme qui t'a donné vie, ton meilleur, mais, depuis la mort de ta mère, ton repère dans un moment d'obscurité, ton dernier rempart. Tu n'hésiterais pas à te sacrifier pour lui et ni à aller te battre pour le défendre. Tu sais pertinemment qu'un jour, il ira rejoindre ta maman dans un monde meilleur, mais tu tiens à repousser son heure au plus longtemps que possible. Une chose est sûre, c'est que lui restera gravé à jamais en toi, tout comme ta mère.




Entre-temps tu as arrêté le job de policier pour te reposer serais à un grave accident de travail qui a failli changer ta vie. Le fait de laisser ta carrière de flic ne t’est pas spa venu du jour au lendemain, tu l’as décidé après avoir pris une belle dans le thorax, un domaine qui a failli te coûter la vie. Ton père t’a supplié de ne pas mourir, tu es trop jeune pour cette chose tragique. Tu y as pensé et en as tiré comme conclusion de ne pas continuer afin de pouvoir t’occuper de lui. Tu te décidais à te mettre au mannequinat après avoir été repéré par une grosse société. Tu te souviendras toujours de ton premier entretien avec la grande patronne de cette société, tu étais angoissé, ne savais pas vraiment quoi dire. Tu arrivais, plutôt classe, une farde remplit de clicher sous le bras, tu rentrais dans le bureau. « Bonjour, je suis Žarko. » Tu lui serrais la main, et te posais sur la chaise. « Je suis Laure, CEO de vogue et je te souhaite la bienvenu Žarko » elle te sourit et prit ta farde et observait attentivement tes clichés. « Beau travail. Surtout.. Bel homme dirai-je ». Elle se levait, et s’approchait de toi. Elle sortait un préservatif de son soutien-gorge et te le jeter sur tes genoux en se dirigeant vers la porte afin de baisser les volets. Elle se dirigeait vers toi, la chemise déboutonnée se baissait et déboutonnait ton pantalon de smoking. Ce fut un entretien riche en émotion, surtout pour elle, mais surtout un entretien d’embauche plutôt unique dans son genre. Jamais tu n’avais eu de rapports sexuels avec un de tes précédents employeurs. Tu sortais de rendez-vous plutôt content, suite aux nouvelles. Elle te remerciait de ce moment partagé sur son bureau en se frottant la bouche à l’aide de son index. Tu marchais fièrement et étais assez confiant pour ton premier shooting. Tu es assez bien payé pour faire des photos à longueur de journée, mais tes jours sont passionnants, tu voyages beaucoup plus et tu as surtout plus de temps à passer avec ton père, cet homme à qui tu tiens tant. Tu as maintenant 22 ans et demi, tu es au mieux de toi-même, ton père habite toujours chez toi, les aides-soignantes changent de jour en jour. Il t'oblige à aller t’amuser de plus en plus, tu lui obéissais, tu savais que t’en avais besoin. Il voulait redevenir autonome. Tu sortais de plus en plus et enchaînais les conquêtes. Au début, tu ne le faisais pas chez toi à la maison, cela se faisait dans un bois, un banc ou même toilette publics. Lorsqu’elle le désirait, vous allier chez elle. Tu décidais d’acheter un nouvel appartement tout neuf afin de rapporter tes conquêtes à la maison, tu le meubles, comme si c'était ta maison. Tu profites enfin de ta jeunesse, de ta vie tel un vrai jeune homme. Tu aimes plaire aux femmes. Tu n’es pas vraiment un des plus fidèles en amour, malheureusement, tu n’es pas prêt à te mettre en couple pour le moment, tu attends la bonne, tu préfères être sûr de ton coup.


En peu de temps, tu es devenu important au sein de la société, encore plus que lorsque tu étais policier. Tu as été élu mannequin de la semaine, du mois à plusieurs reprises. Tu entretiens une relation ambiguë avec ta patronne, Laure, une femme qui te plaît, mais sans plus, ce n’est pas avec elle que tu feras ta vie. Elle t’offrait un poste d’associé en voyant tous tes diplômes, en voyant l’homme brillant que tu es. Tu devenais son associé, vos relations étaient de plus en plus intenses, surtout durant vos heures de travail. Elle ne te considère même plus comme un employé ou ni même comme un associé, mais comme un ami porche avec qui elle aime passer son temps libre que ce soit pendant le boulot ou après vos heures. Jusqu’au jour où tu as recroisé une ex d’enfance, dans un bar. Il s’agissait de Zoya, une jolie blonde que tu as croisée en 2013 durant tes vacances en Inde. Vous étiez rapidement tombé amoureux l’un de l’autre, mais le destin vous a séparé à la fin des vacances, elle est rentrée en Russie et toi, tu es rentré en Serbie, à Zagreb. Elle a une nouvelle fois chamboulé ta vie depuis que tu l’as revu, vous avez parlé plusieurs fois, vous passez même de plus en plus de temps ensemble au point de négliger ta patronne pour elle. Bien qu’elle soit plus jeune que toi de quelques années, cela ne vous a jamais dérangé. Vous couchiez pour la première fois ensemble deux semaines après vous être retrouvés suite à une soirée plutôt arrosée, elle comptait à nouveau de plus en plus pour toi, comme avant, tu la retrouvais, tu retrouvais l’être qui comptait pour toi. Zoya est la fille qui te correspond le plus selon toi pur vos ressemblances de caractère, vous êtes, tous les deux, aisés deux côtés financiers. Elle a des valeurs, celles que t’aimes a priori. Elle a un caractère bien trempé et ne se laisse pas faire. Elle n’hésite pas à donner son avis si cela ne lui plaît pas, une femme au fort caractère qui sait prendre le temps de faire la fête, mais aussi de travailler. T’idéalisais la jeune dame, tu as toujours aimé les petites avec des courbes et surtout celles qui viennent des pays de l’Est. Tu la protégeais de plus en plus face aux propos venant d’autres personnes, surtout des inconnus à tes yeux. À vrai dire Zoya n’est pas connue, malgré l’argent qu’elle a et les petits journaux locaux qui te connaît parle souvent de toi qui es accompagné de la jolie blonde. Les commérages commencent, mais tu n’y fais pas attention. Après tout, tu es mannequin donc voilà pourquoi on t’en veut et sachant que souvent, ce sont des femmes jalouses qui écrivent ce genre d’articles injurieux. Des photos de toi sont dévoilées au grand jour, des photos qu’ils ont obtenues après avoir piraté les serveurs de VOGUE FL, des photos que tu ne voulais pas dévoiler au public. T’attaquais ce journal pendant des mois en justice en impliquant le meilleur avocat de Londres dans l’affaire, déposition après déposition, jury après jury, tu voyais. Tu gagnais après de longs mois de patiente et après avoir pris ton mal en patiente, tu remportais. Le journal ayant commis les faits était puni à te payer une amende de 175.000 $ ainsi que de supprimer toutes les photos à ton propos. Ensuite s'ils voulaient publier un article à ton propos, une chose qu’ils ne feront sûrement plus ils devaient demander ton avis et tu devais signer afin d’éviter tous problèmes.


Et après… Depuis que tu as repris contacte avec Zoya, le lien qui t’unissait avec Laure est plutôt tendu, vous vous voyez encore très rarement en dehors de vos heures, quand vous vous voyez, c’est limite « bonjour, merci d’être venue, au revoir. » Vous n’avez plus les mêmes rapports qu’avant, vous ne couchez plus ensemble, ni chez toi, ni au bureau comme à votre habitude. Durant vos heures, tes heures paraissent longues malgré que tu essayes de parler. Un jour, tu l’invitais afin de lui dire la vérité, tu voulais lui vider ton cœur, lui dire ce que tu ressens pour Zoya. Tu la rejoignais dans ce bar, un bar que vous aviez l’habitude de fréquenter. Tu prenais deux cafés afin de rester sobre pour aller au boulot. « Ce n'est pas que je ne t'aime pas, Laure, juste que Zoya, c’est celle que j’aime depuis mon plus jeune âge, enfin, je crois que mes sentiments reviennent quoi. Je la connais très bien, mieux que n’importe qui… Après j’ai besoin de temps, pour savoir si je l’aime… De temps… » Tu soupirais et prenais ensuite une gorgée de café. « Je peux comprendre, un amour d’enfance ne s’oublie pas, mais tu ne me parles plus, ai-je fait un truc de mal ? » Tu secouais la tête de droite à gauche en guise de réponse, elle n’avait rien dit ni fait. Tu lui prenais la main, amicalement, et premier vos gobelets dans la voiture. Tu conduisais jusqu’au bureau, une nouvelle journée allait commencer.


Et maintenant… Vos rapports s’étaient apaisés, vous étiez à nouveau de bons amis, mais sans plus. Elle voulait même rencontrer Zoya un jour et faire sa connaissance. Chose que tu acceptais, mais pas dans l’immédiat, afin d’être sûre qu’elle ne soit plus en rogne contre nous, contre la jolie blonde. Ta carrière reprenait de plus belle, ton père guérissait devenait de plus en plus autonome et savait bouger de plus en plus seul, bien qu’il devait encore souvent se déplacer en chaise roulante. Tu es de plus en plus fière de ses progrès effectués jour après jour, tu seras toujours reconnaissant envers les blouses blanches qui s’occupent de lui au mieux.


Jeudi, le 10 septembre 2016 tu avais fêté ton anniversaire avec tous tes amis, connaissance et famille, tu avais maintenant enfin 23 ans, comme à tous tes autres anniversaires, tu fêtais sa dignement en sortant pendant plusieurs jours. Tu commençais le jour et terminais la nuit et enchaînais pendant cinq jours d’affiler. Tu prenais spécialement congé, ta famille t’attendait, enfin ce qu’il en reste. Tu recevais des cartes postales de France te souhaitant tout le bonheur du monde. Tu récupérais pendant deux jours, un matin, tu te levais, tu avais prévu d’aller te promener avec ton père, aller faire des choses entre hommes et le faire profiter de l’instant présent. Une chose te semblait bizarre, il n’était pas réveillé. Tu allais dans sa chambre, le réveillais, mais n’obtenais aucune réponse. Les larmes commençaient à couler sur tes joues, les images de ta mère défilaient devant tes yeux, tes souvenirs d’enfance en faisaient de même. Tu étais anéanti. Tu lui faisais les premiers soins, aucune réponse de sa part, tu téléphonais une ambulance au plus vite, tu montais à bord de cette ambulance qui décidait d’embarquer ton père pour l’hôpital le plus proche, celui de Londres. Tu ne pouvais contenir ta colère, ta tristesse et faisais les cent pas dans les couloirs, tu ne pouvais rentrer voir dans le local ou se trouvait l’homme à qui tu tiens tant. Après de longues heures d’attente, l’infirmier sortait de la chambre et rien qu’en voyant sa tête, tu avais compris. Tu fondais en larmes t’écroulant sur l’infirmier plutôt robuste et pleurais dans ses bras. « Nous sommes désolés monsieur Adzovic, nous avons fait de votre mieux. Ce n’est pas avec joie que je dois vous annoncer son décès. » L’homme avait lui-même les larmes aux yeux en t’annoncent le nouveau tragique. « Non, papa, mon père, je l’aime, monsieur puis-je le voir ? » T’étais en larmes, tu fondais face à lui. Le monde s’écroulait à nouveau sur toi, tu venais de perdre ton père, l’homme qui t’a élevé. Tu rentrais dans la chambre, soutenu par l’infirmier qui te posait sur une chaise, tu posais ta tête sur le corps sans vie de ton père, les machines débranchées, tu t’effondrais à nouveau. « Je t’aime papa, merci d’avoir fait de moi l’homme que je suis devenu. » Tu lui murmurais ces quelques mots à l’oreille, malgré qu’il ne puisse plus t’entendre. Son enterrement avait lieu quatre jours plus tard, tu y invitais tes amis ainsi que les siens et la famille à lui rendre un dernier hommage. Tu étais accompagné de Zoya à l’église, elle t’aidait un peu en quelques sortes à surmonter cette dure épreuve de la vie, tu ne t’en remettais pas. Á l’église, tu prenais la parole devant tout le monde, en expliquant le pourquoi de leurs venues. « Chers Amis, membres de la famille, l’épreuve que nous surmontons est dure, et plus particulièrement pour moi, qui viens de perdre mon père, l’homme qui m’est le plus cher au monde. Je vous invite à vous recueillir tous ensemble en sa mémoire, une dernière pensée, un dernier au revoir en sa mémoire. Mon père, Artur était un homme bien, plein de valeurs, un homme droit et honnête peut importe la situation.» Les gens devant toi étaient émus, surtout lorsque tu t'effondres devant eux. « JE T’AIME PAPA! » criais-tu dans l’église qui vous recueillit tous en espérant qu’il t’entende. Après l’enterrement, une chose qui a eu un impact sur ton comportement, une chose qui t’a changé. Tu t’es renfermé sur toi-même, avais besoin d’évacuer cette haine, cette colère, tous les moyens étaient bon. Lorsque tu sortais en boîte, tu n'hésiterais pas à te battre si ce qu’on te disait ne te plaisait pas. La dernière fois que tu t’es battue, t’était accompagné de Laure et non de Zoya, si elle n’était pas là, Laura, la CEO de VOGUE FL, tu aurais tué cet infâme individu qui ne t’a pas respecté. Tu te vois encore en traîne de la défoncer, sa tête qui frappait la table, son sang qui dégouline. « Je te baise, toi et ta famille. Surtout ta putain de mère. » Étaient les mots prononcés et que tu n’as pas aimé entendre. Après que Laure t’est supplié de le lâcher et d’arrêter de le frapper, tu le jetais dehors « Casse toi, pauvre type. Tu as de la chance qu’elle était là. » Tu rentrais chez toi, à la maison et vidais seul une bouteille de whisky. Tu ne te souviens plus trop de cette soirée, c’est plutôt flou mais grave à ta patronne tu les événements te revenaient à la mémoire. Tu sais que tu es traîne de faire une petite dépressions tes amis te le disent souvent. Tu ne fais plus que boire, sortir, coucher. Tu suis actuellement un traitement chez le psychologue, car tu ne voulais pas perdre contacte avec certaines personnes dont Zoya et Laura, deux femmes à qui tu tiens énormément et qui ne te veulent que tu bien.
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MessageSujet ☆ Re: Žarko A. Adzovic ◈ Jon Kortejanera   
le sujet à été posté Ven 11 Nov - 9:44

Félicitation !!!!
Ceci est une validation officielle du Staff. Cela signifie que tu fais officiellement partie de BAE ! Félicitation l'amour !
Petit mot du Staff : ça en fait des lignes ! Ton personnage est très intéressant et on a pu lire l'évolution sur les années du caractère qui a réellement changé. Zarko m'a l'air d'être quelqu'un d'assez accompli mais aussi très complexe et avec la mort de son père, on va avoir affaire à un personnage très sombre. J'ai trouver vraiment triste la morte de sa mère :snif:

Félicitations l'amour ! Tu as enfin passé l'étape délicate de la présentation ! Nous savons que ce n'est pas une mince affaire ! Et que parfois ce n'est pas évident. Nous sommes d'autant plus fières de toi !

Maintenant, nous allons te donner quelques petits liens par lesquels tu devras passer pour t'intégrer au mieux !

Première, ta fiche lien tu créeras des amis tu auras.

Deuxièmement, ton répertoire à rp tu feras pour t'y retrouver ça ira.

Troisièmement, tes demandes tu feras au plus vite on les acceptera.
(ton métier, ton logement) et si tu as besoin d'un lieu supplémentaire pour rp, c'est ici que ça se passera !

Quatrièmement, les absences tu auras, au plus vite tu préviendras.

Cinquièmement : Un soucis tu auras, une Administratrice tu préviendras ! (Katerina; Federica; Keira; Violette et B.)


Enfin, amuse-toi ! Éclate-toi ! Et surtout, encore bienvenue à la maison l'amour Žarko A. Adzovic ◈ Jon Kortejanera 574361001

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MessageSujet ☆ Re: Žarko A. Adzovic ◈ Jon Kortejanera   
le sujet à été posté Ven 11 Nov - 10:23

Et les images, elles sont en option ? Žarko A. Adzovic ◈ Jon Kortejanera 1714645396 mdr' bienvenue et félicitation pour ta présentation ! :)
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MessageSujet ☆ Re: Žarko A. Adzovic ◈ Jon Kortejanera   
le sujet à été posté Ven 11 Nov - 11:27

Putain mais qu'est-ce qu'il est beau Žarko A. Adzovic ◈ Jon Kortejanera 3064613412 Žarko A. Adzovic ◈ Jon Kortejanera 3064613412 Žarko A. Adzovic ◈ Jon Kortejanera 3064613412 Žarko A. Adzovic ◈ Jon Kortejanera 3064613412 Žarko A. Adzovic ◈ Jon Kortejanera 3693783177 Žarko A. Adzovic ◈ Jon Kortejanera 3693783177 Žarko A. Adzovic ◈ Jon Kortejanera 3693783177 Žarko A. Adzovic ◈ Jon Kortejanera 3693783177 Žarko A. Adzovic ◈ Jon Kortejanera 3693783177 et j'adore comment il tourne à la fin (a) du coup bah bienvenue parmi nous! -)
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MessageSujet ☆ Re: Žarko A. Adzovic ◈ Jon Kortejanera   
le sujet à été posté Ven 11 Nov - 11:43

Bienvenu mon tout beau ! J'aime beaucoup ton histoire et ta plume !
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MessageSujet ☆ Re: Žarko A. Adzovic ◈ Jon Kortejanera   
le sujet à été posté Ven 11 Nov - 13:32

Encore bienvenue parmi nous et félicitations pour ta fiche.
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MessageSujet ☆ Re: Žarko A. Adzovic ◈ Jon Kortejanera   
le sujet à été posté Ven 11 Nov - 13:35

Merciiii !
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MessageSujet ☆ Re: Žarko A. Adzovic ◈ Jon Kortejanera   
le sujet à été posté Sam 12 Nov - 1:48

Bienvenue un peu en retard :caché:
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Žarko A. Adzovic ◈ Jon Kortejanera Empty
MessageSujet ☆ Re: Žarko A. Adzovic ◈ Jon Kortejanera   
le sujet à été posté Sam 12 Nov - 11:08

Mercii :)
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Žarko A. Adzovic ◈ Jon Kortejanera Empty
MessageSujet ☆ Re: Žarko A. Adzovic ◈ Jon Kortejanera   
le sujet à été posté

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Žarko A. Adzovic ◈ Jon Kortejanera
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