[-18] Just fun, no respect

Keira & Zarko

Just fun, no respect

Un sms, un coup de fil et hop, l’heure d’un rendez-vous planifier. Tel était votre habitude, environs tous les deux jours entre toi et Keira, une prostituée. Entre vous, ce n’était que du professionnel, tu ne l’aimais pas, mais alors du tout et elle ne pouvait pas te voir. Il n’y avait que les politesses entre le client et celle qui offre ses services. Keira était la femme qui n’était bonne qu’à une seule chose à tes yeux, baiser, jusqu’au bout de la nuit, jusqu’à ce que ton envie sois dissipée. Ce soir, tu lui avais donné rendez-vous dans un bar du centre de Londres que tu connaissais plutôt bien. Les toilettes étaient spacieuses, sachant que tu n’avais aucune envie qu’elle se couche dans ton lit. Tu arrivais dans le bar, saluais la patronne aux formes plutôt généreuse et commandais un verre au comptoir en attendant Keira. Tu offrais un verre à la patronne papoté un petit peu ensemble, mais sans plus. Tu la voyais, marcher le long de la fenêtre vitré du bar, se dirigeant vers l’entrée. Tu te faisais remarquer à ses yeux afin qu’elle sache par où se diriger. Lorsqu’elle arrivait à ta hauteur, tu lui commandais un verre, bon, tout le monde connaissais Keira, que ce soit en bien ou en mal, tu lui offriras un verre et prenais une gorgée du tien. Pour une fois, tu buvais de l’eau, une chose rare en ce moment, car à vrai dire, depuis que tu as perdu ton père, tu enfiles les bouteilles de whisky les une après les autres en écoutant les gens te dire « Ce n’est pas comme ça que ça ira mieux, Zarko. » Ou alors « Relève la tête, et bat toi ! » Bien qu’ils ont souvent raison et que tu savais que la boisson n’était pas le remède qui marche pour le mieux, tu continuais à boire, de plus en plus afin d’oublier la tristesse que tu avais en toi, celle qui te rappelait ton ère, cet homme qui est si cher pour toi, l’homme qui t’a éduqué, fait de toi ce que tu es actuellement « Sinon, tu vas bien ? Quoi de neuf ? » La questionnais-tu par politesse. Pour rester honnête, elle était attirante, plutôt sexy pour ne pas dire vulgaire, mais était doué comme n’importe quelle autre femme au lit. Elle sait comment s’y prendre, ce qu’il faut faire pour satisfaire un homme avec de l’expérience.

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Just fun ! No respect...

feat. Zarko && Keira

Y a des jours, je me demande si ma condition de prostituée me convient pas au final.. après tout, j'aime le sexe. Mais quand je vois les vieux que je m'envoie parfois...comme celui là. Je suis dans une ruelle, et mon regard est vide. Je suis coller à un mur de brique froid et humide... j'ai la gueule dans la mousse moisi et ce fripé frustré et plein de frique est clairement en train de m'irriter. Il y va pas de main morte, avec sa petite queue en train de se frotter à moi comme ça. Il doit avoir facile entre 60 et 65 ans... J'ai envie de vomir. En même temps, sa femme ne plus rien lui offrir, ou pire.. elle est morte. Je jouis même pas, je sens rien, j’attends juste que ça passe. Avec ces types, ils veulent rien de plus que tirer leur coups. Alors, une petite branlette rapide, et on est partie. Ha.. il va avoir finit, il est en train de s'égosiller. Dans ces moments là je sais jamais si ils jouissent où s'ils crèvent. Dans les deux cas je m'en fous. Il a finit. Je me retourne alors qu'il retire son préservatif qu'il jette par terre et ferme sa braguette. Moi je chope une lingette désinfectante intime dans mon sac et paff je remet mon string correctement. Je ne sais pas combien de temps il va durer celui-là avant qu'un client ne me l'arrache mais on verra. Je porte une tenu des plus sexy et vulgaire tout en ressemblant à rien. Un débardeur blanc laissant apparaître parfois mes seins lorsque je ne fais pas attention, avec une jupe fluide plutôt courte noire et mes docks martens. Mes cheveux sont en bordel comme toujours et mon maquillage est assez brouillon. Crayon noir et mascara et on en parle plus. Je me laisse jamais tenté par du rouge à lèvre.. j'aime pas. Je porte aussi des bas résille complètement défoncées arrivant haut cuisse. Bref...je ressemble à une pute quoi.

Le client se barre après avoir payer l'autre moitié et alors, je sens mon portable ancestrale qui ressemble à une épave vibrer dans mon sac. Un message de Zarko, un client. Je lève les yeux aux ciels et mâche une gomme. Je me dirige vers le bar, d'un pas décidé, en lançant des doigts d'honneur au passant qui m'emmerde. Je fais de bulle et serre la chemise qui je porte autour de la taille. J'ai pas froid ça va..Zarko. Je l'aime pas. C'est un petit con accompagné d'une gueule d’Apollon.. et monter comme un taureau, par chance. Voilà pourquoi j'accepte de le baiser et qu'il me paie. Car j'arrive à prendre mon pied avec lui. Ce qui est pas courant. Le fait qu'on se déteste ajoute à cela un côté animale et bestial qui n'est pas réellement pour me déplaire. Il est pas rare que je lui foute des gifles pendant l'acte tant sa tête me revient pas..Breeef... ha le voilà. Je rentre dans le bar et il me fait signe. Je le salue d'un mouvement de tête et m'assoie à côté de lui en lâchant mon sac par terre : « Un bière » dis-je simplement. Puis voilà qu'il me demande comment je vais... je hausse un sourcil et le stop direct : « Je vois pas ce que ça peut te foutre. Tu me paie pour te sucer et me casser pas pour savoir ma vie. Salut Slavinka » Je souris à la gérante du bar qui fait aussi office de club libertin et bdsm et passe rapidement sur les souvenirs désagréable que je peux garder de cet endroit. Mais bon. L'avantage c'est qu'ici on prend une chambre et on fait bien ce qu'on veut après, ou même les chiottes ça passe aussi. Je bois ma bière et regarde Zarko d'une façon peu sympathique et rajoute : « On va pas se la jouer Prettywoman compte pas sur moi » Je ricane en pensant à ce film qui reflète clairement pas la réalité et je regarde autour de nous. Comme toujours, pas grand monde dans le bar.. mais la club derrière doit être plus blindé..

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« Je ne vois pas ce que ça peut te foutre. Tu me paies pour te sucer et me casser pas pour savoir ma vie. Salut Slavinka » Quelle arrogance. Bon, elle n’avait pas tort, tu ne la payais pas pour parler, mais pour coucher. Tu regardais la patronne du bar plutôt étonnée, elle était là, sans réponse et saluait simplement la prostituée. Bon après, c’est vrai que son bar est fait pour ça vu qu’elle dispose de chambre et de toilettes assez spacieuses. « C’est vrai, bon allons dans une chambre alors ? Ou une toilette, à toi de voir. Je sens que je vais m’amuser ce soir. » Entre vous, le terme ‘faire l’amour’ ne s’utilisais même plus, vous étiez comme des animaux lorsque vous étiez dans un lit réuni. Entre vous, c’était plutôt… Sauvage. Tu lui prenais la main, l’entraînais dans la chambre qui vous était destinée. En chemin déjà, tu lui enlevais son débardeur blanc, la laissais en soutien et ne poursuivais pas enlever la mini-jupe dont elle était vêtue. D’un mouvement fluide, elle se retrouvait sur le lit, en string. Tu lui laissais le temps d’enlever ses chaussures, pendant que tu te regardais dans le miroir avant de t’allonger sur le lit. Au plus que tu la regardais, au plus que tu te disais qu’elle était plutôt bien foutue pour une prostituée. Tu savais que t’allais t’amuser ce soir, t’en étais sûr et tu savais qu’avec elle cela pouvait durer jusqu’au petit matin. « J’ai tellement envie de t’prendre ce soir, tu ne peux même pas t’imaginer en fait. » C’était le genre de fille qui aimait être dominé au lit, le genre de fille qui ne prend plus trop souvent son pied, surtout pas après une journée entière de sexe. Tu sais pertinemment que le matin, elle se fait prendre dans une chambre, en après-midi, dans une ruelle, le soir, dans une voiture et la nuit dans un hôtel. Sauf qu’à chaque fois que vous avez couchée ensemble, t’arrivais à lui offrir ce qu’elle désirait, tu arrivais à la faire, jouer, hurler des plaisirs. Tu te levais légèrement l’entraînais dans une courte chute, la plaquant sur les draps qui sont encore secs. Tu l’embrassais dans le cou et bougeais de manière à ce qu’elle puisse se mettre au-dessus de toi. « T’es prête ? » Ce sont peut-être les derniers mots que vous allez vous échanger ce soir, le autres n’existeront que des jouïssements, grognements et cris de plaisir.

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feat. Zarko && Keira

Il sourit, sûrement amuser par mon arrogance et alors, me propose qu'on passe tout de suite à l'action. Une chambre ou des chiottes. Il me demande de choisir et bien sûr je vais pas choisir les chiottes. Autant être à l'aise, j'en ai pas toujours l'occasion. Et bien que je puisse pas encadrer cette belle gueule, il est ce qu'on appelle un bon coup, et autant être bien installer. Je finis pas encore ma bière qu'il me prend par la main. J'obéis et le suit, après tout il me paie. Voilà, on y va et je sais pas pourquoi mais dans un sens je suis assez excitée.. En approchant dans la chambre, il me dégage mon débardeur qui se retrouve au sol et je finis assez rapidement sur le lit. J'apprécie la sensation des draps sur mes fesses nues et je retire mes chaussures en regardant d'un air félins Zarko qui m'observe juste là. Je m'allonge alors, mes seins gonflant et se durcissant à cause de la fraîcheur de la pièce qui se transformera bientôt en chaleur humide et lourde.

Il s'approche de moi et alors, me tire vers lui. Il m'embrasse dans le cou et je frissonne. Chaque fois j'espère simplement qu'il n'oublie pas la règle d'or. Jamais de baiser sur la bouche. Jamais ! Je suis très stricte à ce sujet... un baiser c'est la seule limite que je ne franchis jamais. Parfois certains essaye et ils s'en mordent les doigts. Je fais tout, tout mais pas ça. Je suis à califourchon sur lui, tandis que je l'aide à se redresser pour qu'il me fasse face, assis également. Il me demande si je suis prête et je souris en coin. Je répond même pas, et ondule des hanches contre lui, sentant sa virilité sous ses vêtements réagir à mon corps. Mon corps si peu vêtu alors qu'il n'a retirer aucun vêtement. Il aime que je le fasse, et j'aime être ainsi, à son service. Non pas que j'aime être une petite chienne soumise, mais on va dire que ça me retire l'effort d'être imaginative.

«Je suis toujours prête » dis-je en passant mes mains sous son haut en continuant d'onduler des reins contre lui. Je relève son haut et lui retire alors, venant mordiller son cou. Mes mains glissent sur son torse et je descends alors du lit pour venir déboutonner son pantalon et sa ceinture, le regardant en me cambrant, dévoilant mes reins et mon atouts à sa vue. Je descend son bas et découvre alors son membre, près à l'emploi. Je me mords les lèvres : « Tout comme toi. Dois-je y aller de suite ou désires-tu que je m'occupe d'abord de ça.. ? » sussure-je en glissant mon doigt le long de son sexe, gloussant un peu en le sentant réagir à ce simple toucher. Je sais être très experte et joueuse quand je le désir. Et être arrogante, c'est mon point fort. Surtout que je sais qu'il ne supporte pas m'entendre parler, étant donner qu'on ne peut pas se voir en peinture. Mais s'il se concentre sur mes seins en face de lui, peut-être qu'il aura moins envie de m'en foutre une non ?

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Just fun, no respect

Aucun amour, aucun engagement, mais seulement du plaisir entre vous. Les coups de reins à en oublier son compte, les nuits passer dans le même lit a transpirer du début à la fin, les cris de la jeune femme retentissaient dans tes oreilles de plus en plus souvent. « Je suis toujours prête » Passait-elle sa main sous ton haut. Elle ondulait des hanches, ce qui te faisait pas mal d’effet au point d’être déjà prêt a commencer. Elle glissait ton pantalon vers le bas, tu terminais le travail. Ses mains qui dansent sur ton torse, sa poitrine dévoilée, tu laissais tes mains se balader. Tes parties intimes ? Elle savait à quoi elle ressemblait, de là qu’elle n’a eu aucune réaction lorsqu’elle la voyait, prête à l’emploi. « Tout comme toi. Dois-je y aller de suite ou désires-tu que je m'occupe d'abord de ça.. ? » Toujours en ondulant des hanches, cette fois-ci, elle t’excitait pour de bon. Laissant glisser son doigt sur ton sexe, un doigt baladeur. « Bon, tais-toi. » Tu la retournais, sur son dos, cherchant le contacte avec sa peau. Sauf que tu ne comptais pas faire les choses à moitié, sachant que c’est une prostituée encore plutôt propos, tu ne te contentais pas que des coups de reins. Tu aimais faire les choses bien malgré tout. Tu rechargeais à nouveau de position afin de la faire comprendre dont ce que tu attendais d’elle. Des limites ? Vous n’en avez pas ! Ah si.. Peut-être une seule, aucun de vous embrassera l’autre sur la bouche. C’est la seule limite que Keira se fixe en fait. Bien que tu comptes la faire craquer un jour. Tu l’aidais à descendre afin de poser ses lèvres sur ton membre, retenant ses cheveux en arrière, tu profitais du moment présent. Keira était clairement la seule actuellement qui savait te faire plaisir, la seule qui pouvait calmer ton envie pour quelques heures. « J’ai envie d’toi. J’ai envie de t’faire l’amour. Envie de sentir ta peau contre la mienne. »

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