I'm gonna do bad things with you...

Bonjour love, je m'appelle Alexander Henry Pawlton, plus souvent surnommé Xander et j'ai 24 ans. Je suis né(e) le 30 Mai à Liverpool. Dans la vie je suis mannequin/chanteur/danseur et financièrement je suis plutôt carrément blindé. Je suis hétéro et fier de vous annoncer que je suis célibataire. J'ai ni frère ni soeur et ma vie est comme la musique Slow Down de Selena Gomez. PS : je suis plus ou moins un scénario.

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Bon, inutile de tirer dans les coins, je vais pas m’amuser à vous tirer mon portrait… que voulez-vous savoir au juste ? Que je fais ce que je veux, où je veux, comme je veux,quand je veux ? Et alors, qui va m’en empêcher ? Toi peut être ? Laisse tomber, c’est moi le meilleur… et quand j’ai une emmerde, père la fait sauter d’un coup de téléphone à l’avocat, au maire, ou à une autre relation… il dira que je le désespère, et après ? De toute façon il s’en fout de moi… il se fout même de mère… il croit qu’elle ne sait pas… mais on l’a vu en revenant de shopping il y a quelques semaines… lui et sa putain d’assistante ! Alors chut ! Et s’il trouve qu’il a un fils impossible, qu’il attende la suite j’ai à peine commencé.
Mère au moins est capable de comprendre qu’elle a un fils extraordinaire, et elle ne le cache pas… en même temps, beaucoup des choses que je sais faire, je les connais grâce à elle… elle avait beau être jeune quand je suis né, elle a tout de suite pu reconnaitre mon talent, quel que soit le domaine… j’étais à peine bébé que je faisais déjà les couvertures des magazines pour la mode bambin… je vous le disais, elle a su comment je serai, et ce que je serai capable de faire… c’est parce qu’elle m’a accompagné que j’ai percé dans la musique, dans la mode, dans la danse, que j’ai crevé l’écran. En bref, ma mère c’est la meilleure… l’ennui, c’est que depuis cinq ans… ben au final, j’ai l’impression déjà de vivre tout seul… et ça me gonfle. Père, maman, vous n’oubliez rien au juste ? Je sais pas que vous avez un gosse, et qu’un gosse, on ne le délaisse pas quand on ne veut plus s’en occuper… vous ne voulez pas que je merde ? Trop tard… c’est con, mais ça a commencé par un petit vol de bagnole et j’ai pas mal dérapé depuis… les filles faciles – ou forcées -  comme l’adrénaline… putain… c’est con mais je crois que j’y suis accroc… c’est con, mais putain, j’avoue que jouer à casser la gueule des gens et m’en tirer sans même une ligne au casier, ça m’éclate sincèrement. Putain, j’aime cette impression d’être en danger et en même temps d’être invincible… et alors pour un danseur, croyez-moi, y a des manières de se battre qui sont juste du first class : vous connaissez la capoeira ? Ou la souplesse que ça m’offre pour le muay thaï ? Ouais, voilà, je me prépare pour être capable de frapper bien et surtout frapper fort !  Et imaginez avec un peu de souplesse ce que je peux faire au plumard (ou hors de celui-là). Enfin bref, j’adore la castagne… l’alcool, aussi, ou à l’occasion un petit peu de poudre dans le pif. Tout simplement !  
Ah autre chose à savoir si vous ne l’avez pas compris : je commande un navire ou je le fais couler… c’est con sans doute, mais c’est comme ça !  Et ne m’accusez pas de mauvaise foi ! C’est juste un peu étrange pour vous ce monde de pensée, mais réfléchissez : sur scène comme dans la vie, je sais ce que je veux et personne ne l’empêchera de l’avoir. C’est stupide, sans doute mais bon. C’est comme ça… je déconseille à quiconque de se mettre sur mon chemin… et même cette petite putain de Keira… qu’elle me provoque et je crois que je n’hésiterai pas à frapper… avant de me la faire…
Ah et pour info, le premier qui m’emmerde trop, je lui colle la salade de phalange et la tarte aux marrons au menu… et pas d’attente pour être servi… je vous les offre à froid !








Sinon dans la vraie vie je m'appelle [b]E. Nygma, mais sur le net je change de pseudo comme de capote alors osef. J'ai 325-(60*5) ans et je vis en France. J'ai connu BAE grace à Keira et je pense être présent(e) de manière régulière mais variable. Je trouve BAE plutôt sympa et pour finir je dirais Rindfleischetikettierungsüberwachungsaufgabenübertragungsgesetz

Je ne vais pas vous mentir, j’ai jamais eu à me plaindre de ma vie jusque-là, ou du moins, je suis sûr que personne ne me plaindra. Parce que personne ne sait, et personne ne comprend ! Personne ne veut comprendre. Père n’était pas là quand je suis né. Comment je le sais ? Parce qu’on a encore son papier qui indique, signé de sa main, qu’il est le père de l’enfant à naitre, pour l’état civil… gros contrat à négocier… un partenariat avec une marque japonaise apparemment… tu parles… je crois que c’est son absence qui résume le mieux ma vie. Oh, n’allez pas croire que je me suis retrouvé malheureux, bien au contraire. Maman était présente, entre ses shooting… récemment je suis retombé sur de vieilles photos où on me voit dans mon maxicosi, ma poussette, ou mon porte-bébé alors qu’elle entre dans les studios de shooting ou autres sorties. Souvent accompagnées d’articles, ces photos étaient surtout des pages de magazine people qu’elle avait gardées parce qu’elle trouvait - et trouve toujours – qu’elle a eu « le plus bel enfant de la terre ». Et je ne veux pas dire… mais c’est putain de vrai !
Enfin bref, enfance basique, trimballé de shooting en shooting par ma mère, avant que finalement, elle ne me présente à une agence et où je commençais à faire mes débuts… j’en ai pas de souvenirs… je devais avoir deux ou trois ans, pas plus… j’ai commencé à poser pour des vêtements d’enfants, et là, ça a été l’engrenage… maman se chargeait du managériat … elle avait l’œil pour repérer les bons plans, où poser, quand poser, avec quel photographe… en fait, dès que j’ai commencé la moindre activité, maman s’occupait de me la faire se développer… je me souviens qu’en écoutant une chanson, j’ai fait deux pas de danse, hop, maman m’inscrivait à la danse, je me mettais à fredonner, hop, cours de chants, piano, guitare, solfège, et autres. Puis ce fut le théâtre, et autres activités. Je n’allais pas à l’école et travaillais à la maison sous l’égide d’un précepteur…
Au fond, qu’and j’y pense je n’ai jamais vraiment eu une mère… oh, je l’ai longtemps appelé maman, mais j’ai plus eu une manager qu’une mère… d’ailleurs, la première fois que je l’ai appelée par son prénom au lieu de l’appeler mère ou maman, ça m’a paru si naturel que depuis je l’ai toujours appelée ainsi…
Dort heureusement, je n’étais pas complètement dénué de lien plus ou moins maternel… Eloise, je me souviens très bien d’elle, c’était une amie de ma mère qui me gardait si souvent qu’elle avait fini par devenir ma nounou, puis ma baby-sitter et ma gouvernante… ben oui, ma mère avait, en plus de la mienne, sa propre carrière à gérer… du coup, forcément, elle était régulièrement forcée de s’absenter, n’est-ce pas ? Qui le lui reprochait ? Au final, même si j’aimais beaucoup ma mère, c’était plus une collègue, une patronne, parfois une copine, qu’une mère, au final… je ne dis pas qu’elle n’avait pas, qu’elle n’a pas l’instinct maternel, mais qu’il n’est pas très… démonstratif, dirons-nous…
Je pourrais parler de mon père, mais je crois que son assistance se fait assez enfilée comme ça, pas la peine d’en remettre une couche… et puis…. Et puis ses absences parlent pour lui. Amer, moi ? Allons, si peu… comment trouver que quelqu’un qu’on connait si peu nous manque, au juste ?

Bref, comme je vous le disais, j’avais école à domicile pendant mon enfance avant de finalement intégrer un collège privé qui réunissait, vus les prix prohibitifs, que des enfants dont les parents avaient les moyens et dont les horaires étaient très modulables pour permettre de suivre le cours particuliers… j’ai suivi ces cours dans ce collège jusqu’à la fin, et je partais dans un lycée similaire, ma carrière grandissait et je n’avais pas 16 ans et je commençais les concerts, sur l’impulsion de ma manager – ou de ma mère, comme vous voulez - . Je cartonnais. Le monde s’ouvrait à moi. Le monde s’inclinait devant moi… je me sentais invincible avec mon micro entre les mains, acclamé, et scandé par le public… je n’avais pas trop de stress, ça se passait bien…
Et là, mon père est entré dans ma vie. Vraiment.
J’étais en fin lycée et je comptais tout arrêter pour suivre mes différentes vocations d’artiste, ça me convenait tout à fait. J’étais encore assez docile comme fils… et là, Père est intervenu. Durham. Oxford. Cambridge. Tu parles d’un choix. Ce mec n’en avait jamais eu rien à foutre de moi, et voilà qu’il venait ingérer dans ma vie. Et malgré les protestations de ma manager… alors vous pensez bien que là, ça allait mal se mettre. Très bien, j’allais avoir l’une des trois.le plus loin possible de Liverpool, où nous vivions. Mais je me promettais un truc : j’allais faire en sorte qu’il n’ait jamais une minute de repos sous les plaintes, les problèmes et le rattrapage de sa réputation que j’allais m’enjoindre à salir de frasques toutes plus inventives les uns des autres. Voilà, j’avais ma vengeance.
Putain ce que j’étais bon et que j’étais teigneux… je me fis virer de Durham en moins d’un an. Par exemple, j’ai noyé dans la bouse de vache le voiture du doyen, ou encore, je me suis amusé à faire monter sur le toit de l’université une paire de bœuf… j’ai organisé une orgie dans un amphithéâtre… et je crois qu’il est inutile de continuer. Si ? Bref, Durham n’avait pas tenu… alors père me fit recommencer, cette fois, à Oxford, grâce à de gros chèques… voilà que je recommençais… sauf que cette fois-ci, je finissais en garde à vue, possession de drogue, ivrognerie sur la voie publique, outrage à agents… je poussais de plus en plus loin, tout en continuant à me produire sur scène, mes sons pop-rocks se faisaient de plus en plus provoquants et attiraient toujours plus de monde… voilà quelque chose de magique ! parce que je continuais, je continuais à me sentir tout puissant… et puis mon avocate était une véritable ténor du barreau qui me sortait, à la demande de mon père, toujours de mes gardes à vue… pas mal, n’est-ce pas ? Sans elle, j’aurai déjà fait de la taule !
De retour à Liverpool je fus ravi de voir qu’enfin, on me foutait la paix ! Je faisais mon travail dans le mannequinat, la chanson, parfois un peu de théâtre comme ça, et j’espérais sincèrement bientôt percer sur le grand ou le petit écran, si ma mère arrivait à me décrocher des auditions intéressantes…
Je m’offrais mon indépendance à Londres au passage pour m’éloigner et je remettais toujours et encore mes conneries, avec la plus grande application et le plus grand plaisir !
Mais voilà, j’avais pris gout à mes frasques et parce que ça me grisait et me faisait encore plus d’effet que l’alcool ou la drogue, je continuais avec comme seuls mots d’ordres : « ce que je veux, où je veux, comme je veux, quand je veux. » Et ça me réussissais bien, au point de devoir finalement me trouver des nouveaux défis toujours plus dangereux pour me prendre de véritables shoots d’adrénaline… je commençais les combats de rue…

C’est après un combat que je l’ai rencontrée… j’étais en boite, peinard, je sortais de quoi me faire un bon gros rail de poudre blanche, pour me charger pendant un moment quand y a cette nana qui m’est approchée… elle semblait vouloir mon rail à tout prix… le truc c‘est que je voulais m’éclater… alors pour déconner, je lui ai balancé que si elle passait sous la table, je lui filerai de ma poudre…. Franchement, je m’en foutais, j’utilisais l’argent que je gagnais et qui se comptait en centaines de millions par an… alors un peu de poudre… mais à la base je disais ça pour déconner…
Elle tenait vraiment à son rail la salope. Meilleure pipe de ma vie. Je restais ravi, extatique et lui filait volontiers une dose… le disant même que si elle recommençait je lui en fournirais… mais je ne la revis pas pendant un certain temps, je me foutais de ce qu’elle devenait, et je l’aurais presque oublié, si elle ne m’avait pas marqué avec sa bouche et sa langue tant elle était douée… si je m’attendais à la revoir… c’était après un autre combat… mon adversaire était KO mais je m’étais un peu acharné sur ses côtes, il m’avait ouvert l’arcade l’enculé… et parmi ceux qui fêtaient un peu la victoire, je revoyais cette fille, défoncée, complètement imbibée… et je la coinçais dans une ruelle sombre pour qu’on s’éclate… de toute manière même si elle n’avait pas été consentante, je doute que son degré d’alcoolémie lui aurait permis la moindre réaction… ouais, à ce point… nous nous revîmes par la suite souvent à ses combats… et étrangement, même si ça ne finissait pas toujours bien… je me souviens d’un jour où je lui ai mis une raclée pour s’être foutue de moi Pas fort. Juste assez pour faire passer le message un jour où j’étais en rogne contre tout le monde. Fallait pas me faire chier au mauvais moment. Dans tous les cas nous finissions toujours par baiser ou nous engueuler, voire parfois les deux à la suite, ou en même temps. Je la payais toujours après l’acte, souvent en came de qualité, histoire de lui faire comprendre sa place… mais bref, plus ça se passe, plus ça me dégoute qu’elle couche avec un autre. Elle est à moi. Elle est ma petite pute droguée et celle de personne d’autre. Vu ? Et pourquoi je pense ça ? J’en ai rien à carrer d’elle, au fond…

Petit mot du Staff : Contente de te revoir parmi nous, ta présentation est vraiment complète, j'ai hâte de savoir si tu vas faire le même personnage que WDTGG ou si tu vas le faire différent ! :D

Félicitations l'amour ! Tu as enfin passé l'étape délicate de la présentation ! Nous savons que ce n'est pas une mince affaire ! Et que parfois ce n'est pas évident. Nous sommes d'autant plus fières de toi !

Maintenant, nous allons te donner quelques petits liens par lesquels tu devras passer pour t'intégrer au mieux !

Première, ta fiche lien tu créeras des amis tu auras.

Deuxièmement, ton répertoire à rp tu feras pour t'y retrouver ça ira.

Troisièmement, tes demandes tu feras au plus vite on les acceptera.
(ton métier, ton logement) et si tu as besoin d'un lieu supplémentaire pour rp, c'est ici que ça se passera !

Quatrièmement,  les absences tu auras, au plus vite tu préviendras.

Cinquièmement : Un soucis tu auras, une Administratrice tu préviendras ! (Katerina; Keira; Violette; Zarko et B.)


Enfin, amuse-toi ! Éclate-toi ! Et surtout, encore bienvenue à la maison l'amour