Petit moment de détente

Aujourd'hui j'avais décidée de m'évadée un peu de la vie royale. Du coup j'avais décidée de me promenée au parc. J'avais mis une tenue ordinaire fais une coiffure à la va vite et mis une casquette sur ma tête. J'enlevais et cachais tout ce qui pouvais montrée que j’appartenais à la famille royale.

Une fois prête je sortie donc de ma chambre, me dirigea vers le poste de sécurité, ou je vis Alix, mon garde du corps. Je lui souris et dis. J'ai envie d'aller au parc aujourd'hui le palais devient étouffant. Alix savait très bien de quoi je parlais. Car elle était certes mon garde du corps, mais elle était aussi avant tout une amie. Je lui confiais mes craintes, mes secrets, du moins une partie de mes secrets. Elle était pour moi une personne de confiance.

Avec elle je n'avais pas besoin d'être la princesse parfaite, je pouvais être moi,
du moins que quand nous étions que toutes les deux. Car quand d'autres personnes se trouvais avec nous, que ce soit de la famille, amis ou d'autres gardes du corps notre relation devenait celle qu'elle devait être, c'est à dire professionnelle.

J'avais vraiment besoin de sortir du palais l'arrivée des héritiers Grimaldi avaient changé beaucoup de chose et autant dire que tout ceci ne présageait rien de on. Du moins c'est ce que je ressentais au fond de moi. J'avais donc décidée de sortir en dehors du palais, mais je ne pouvais malheureusement sortir seule, heureusement que j'avais une bonne entente avec Alix mon garde du corps. Je m'étais donc dirigée vers le poste de sécurité pour la trouvée. Chose facile, bon autant dire que quand elle n'était pas près de moi dans ses heures de travail, elle se trouvai ici.

Après lui avoir dis mon envie de sortir et d'avoir saluée le reste des gardes je me dirigeais vers la voiture d'Alix. Quand elle l'ouvrit je m'installas et l'attendis. Quand elle entra à son tour je lui dis. Emmènes moi juste loin d'ici. S'i te plaît Je lui souris. Alix était plus qu'un garde du corps pour moi, elle était également mon amie, et avec elle je me sentais en confiance.

Je regardais la route et dis. Je ne me sens plus vraiment chez moi depuis l'arrivée des Grimaldi. Alix me regarda du coin de l'oeil elle devait surement se demander pourquoi d'un côté ça pouvait se comprendre. Certes je ne supportais pas mon statut de princesse pour le faite de ne pas avoir une vie normale mas j'aimais ma famille, et la vie au palais malgré tout. Et cela Alix le savait parfaitement.

Nous arrivions au parc, il y avait peut de monde, je descendis du véhicule et commença à rentrée dans le parc, Alix resta près de moi. Je lançais donc la conversation. Et toi Alix, que penses tu de tout ce qui se passe au palais dernièrement? Je voulais avoir son point de vue. Un oeil de l'extérieur permettra de modifier ou même éclairé certaines choses.

Nous étions arrivée au parc Alix comme toujours était toujours en position si jamais on devait me reconnaître ou autre. Je souris car avec elle, j'étais vraiment en confiance que ce soit pour ma sécurité ou alors pour parler. Je ne regrettais pas du tout de l'avoir en garde du corps, elle faisait vraiment un travail extraordinaire. Comme ces derniers temps je lui expliquais mon envie d’évasion, elle m'écouta, et me répondit même quand je lui demanda son avis. Je souris, et rajoutais. Justement ils sont libres, cela n'est pas un soucis loin de là, mais j'ai bien peur que certains de leur agissement risque de nuire à la famille. A croire que la reine est tombée sur la tête. Bon certes c'était de ma mère que je parlais, mais elle qui était si droite et juste, je ne comprenais pas. Elle qui voulait le mieux pou la famille royale, j'avais l'impression que sur ce point ci elle se trompait.

Je marchais, Alix toujours à mes cotés sans but précis. Je regardais tout ses gens autour de moi. Je rajoutais donc à Alix. Tu sais j'envie toute ses personnes. Certes ils n'ont peut-être pas la belle vie, mais au moins eut peuvent être ceux qu'ils sont réellement. Pas besoin de jouer un jeu, de respecter des règles, ou même de faire attention à leurs faits et gestes. Cela était pour moi, certes une vie ordinaire mais tellement une chose que je n'aurais jamais. Depuis toute petite j'étais sous le feu des projecteur, certes moins que mon frère mais assez pour être connue et avoir un surnom auprès de mon peuple. J'étais la princesse de coeur, celle qui faisait le bien autour d'elle, qui faisait tout ce qui fallait au niveau des associations, des œuvres caritatives, ou même auprès des orphelinats, et hôpitaux. J'étais mademoiselle bonne action.

Je me dirigeais vers un banc, Alix s'installa à mes côtés. Je lui dis alors. Tu crois que ça se passerait comment si moi-même un jour je fais juste un faux pas, parce que j'ai eut une envie de vivre ma vie de jeune femme. Je me privais de tout pour le bien être et surtout la réputation de ma famille. Mais un jour aurais-je le droit de vivre un minimum ma vie. Bon j'avais un peu de cela à certains moments, mais pas à l'extérieur du palais ou de chez mes amis les plus proches. J'enlevais mes lunettes de soleil pour profité des rayons. Ca aussi j'aimerais tellement pouvoir le faire plus souvent, me promener sans pour autant me cacher aux yeux de tous. Mais cela était juste impossible. Dès qu'un membres de la famille Royale sortait, et qu'on avait le malheur de se faire voir, les paparazzis n'étaient jamais loin.

Je regardais autour de moi, je voyais ses familles ordinaires, qui croquait la vie à pleine dent. Ses mères jouant avec leurs enfants, ses pique-nique improvisés, avec pour table un drap tout simple. Il est clair que ce n'est pas ma famille qui ferait ça, et je ne le ferais pas non plus quand j'aurais des enfants. A moins que je décide de brisée certaines lois et règles de la royauté, mais cela risque de créer de belles histoires.

Ce qui était bien avec Alix c'est qu'elle avait toujours des paroles sages, justes et aussi de bons conseils, j'étais bien heureuse de l'avoir en amie, mais également en garde du corps, avec elle je pouvais me confier sans être juger, sans voir mes secrets dévoiler dans la presse le lendemain, elle était un confidente pour moi, un personne sûre qui je pouvais compter, et autant dire que quand on est une princesse cela est bien difficile. Je l'écoutais donc, elle avait raison sur certains points, mais malgré tout je rajoutais. J'ai certes la chance d'être née avec une cuillère en argent voir même en or dans la bouche, mais dès fois j'ai l'impression que je ne suis pas à ma place, la vie de château est loin d'être un rêve.

C'est vrai j'avais de l'argent, de la popularité, j'étais aimée, adulée, mais j'étais aussi détestée car j'étais une princesse, que tout m'étais dût alors que je ne voulais pas de cela. Je regardais un point fixe au loin, j'entendis les cri, les rires des enfants, je n'aurais pas une vie tranquille comme tout ses gens, la mienne sera toujours pareil afficher dans les pages des magasines. Je repris la paroles et dis. Dès fois j'aimerais juste prendre tout ce qui m'est dû, et partir loin de cette vie que tout les gens appelle de rêve.

Mon rêve à moi, était de vivre loin de tout cela, avoir une vie simple, un travail ordinaire comme la plus part de ses gens. Mais mon destin était tout tracer, rien ne pourrait changer cela, bien qu'il y aurait des solutions, mais tout ceci serait un coup d'état, et ça ne plairait pas du tout aux autres membres de la famille royale. Mais bon, la vie était injuste envers certaines personnes, et moi je pensais que c'était mon cas, tant de fois j'avais espérée que ma famille me renie, pour de mauvais actes, mais jamais je n'avais fait de telles choses, cela était complètement impossible, car après tout je n'étais pas seule.

Je devais tenir bon pour mes frères, leurs montrer que moi aussi je suis forte et que je suis digne d'être la princesse de Cambridge, mais tout ceci n'était qu'un masque, une facette de moi. J'étais juste la réplique parfaite de la reine, de ma mère, de celle qui régnait avec mon père sur l'Angleterre. On n'était aux yeux de tous une famille respectée qui surement s'aimait mais c'était pas vraiment le cas, la royauté est bien cruelle parfois.

Je regardais Alix, je savais pas beaucoup de chose sur elle, mais si jamais je venais à disparaître que deviendrait-elle ? Elle perdrait son travail, un poste en or, car avouons le le salaire est plutôt pas mal. Mais après aime-t-elle vraiment surveiller une princesse qui peut être à la fois adorable, mais également capricieuse. Je lui dis donc. Tu dois surement te dire que je suis complètement folle de pensée à tout cela. Car oui plus d'une personne aimerait être à ma place et ça j'en suis sûre et certaine.

L'avantage avec Alix c'est qu'il n'y avait aucune supercherie, elle était tout ce qu'il y a de plus sincère avec moi, pas de mensonges, pas de complots, juste une belle amitié entre un garde du corps et une princesse. Je l'écoutais toujours attentivement car Alix était vraiment de bons conseils, elle était raisonnable. Je regardais les gens une dernière fois, une vie normale, ce serait parfait, faire du sport dans un parc, manger un pique-nique et même juste se promener sans voir un paparazzi courir vers soit que du bonheur. D'ailleurs c'était étrange de ne pas en avoir vu un seul. Je regardais autour de moi. Je regardais Alix et lui dis. Ca te dirais de bouger et d'aller manger un gâteau avec un bon thé.

Je ne me sentais plus du tout rassurer bien que je savais qu'avec Alix, je ne risquais rien, mais comme j'avais un rendez-vous avec ma mère dans les heures à venir je me devais d'être élégante donc autant dire que si j'arrive pleines de sueurs suite à une course poursuite, cela risquerait de ne pas plaire à la reine. Alix approuva. On se leva donc du banc sur lequel nous nous étions installée et on se dirigea vers la sortie du parc. Je pris la parole de nouveau et dis. Merci Alix, merci pour tout. Tu sais c'est une torture de ne pas pouvoir parler de cela à d'autres personnes, et toi tu es là pour m'écouter et toujours me conseiller, sans pour autant me dire quoi faire et j'apprécie beaucoup.

On arriva sur le parking, je regardais autour de moi, me sentant surveiller, mais ce n'était surement pas le cas, c'était tellement devenue une obsession de me sentir suivit que je voyais des paparazzi partout. Mais je n'était pas si folle que ça, car au loin je vis une voiture avec une personne dedans tenant un appareil photo braquer dans notre direction. Je baissais un peu le visage pour ne pas qu'il soit trop voyant et dis à Alix. La voiture verte là-bas, je l'ai vu quand on est partie du palais, je crois bien qu'elle nous a suivit jusque là. A croire qu'il n'y aurait pas un jours où un des membres de la famille pourrait être tranquille. C'était sûrement l'une des choses qui m'énervais le plus dans la vie de princesse, ça et les règles trop strictes.

J'accélérais le pas, pour rentrée assez rapidement dans la voiture, je détestais me retrouvée dans les magasine sauf quand cela est prévue. Car bon avouons le ma tenue d'aujourd'hui est loin d'être digne d'une princesse et cela ferais beaucoup parler les gens sur le genre de tenue que je prote surtout quand je passes incognito, maintenant que ses photo sont prise je vais devoir encore changer si jamais elles se retrouvent publiées.