La vérité doit éclatée. Feat Enzo Lowell.

Je travaillais sur mon enquête en collaboration avec la brigade des mineurs. Il était tard et je ferais mieux de rentrée mais je voulais absolument avancée dans mon enquête. Mon chef le père d'Enzo passa me voir dans mon bureau pour me dire au revoir et me dire que son fils resta tard également ce soir. Je savais très bien ce qu'il voulait me dire. En gros je devais parler à son fils de ma situation, et surement de notre situation. e me mordis la lèvre mais retourna malgré tout à mon dossier. Mais les mots du père de mon ex-petit ami me trottaient dans la tête. Je me levais donc et me dirigeais donc vers le bureau d'Enzo.

Sa porte était ouverte je frappais donc, souriais faiblement et lui dit. e ne te dérage pas ? Cela faisait des mois que nous nous étions pas parler. Pas depuis cette fameuse nuit. Car même quand j'avais repris ma place dans l'équipe nous n'avions pas échanger un seul mot. Pas même depuis mon changement de groupe. D'ailleurs on ne s'échangeait pas un mot quand on faisait des ronde ensemble. IL n'avais pas chercher à comprendre pourquoi son père m'avait soudainement changer de poste.

J’étais plonger dans l’un des dossiers que j’enquêter actuellement, la disparition d’un petit garçon, on soupçonner le père de l’avoir enlevé parce qu’il n’avait accepté de perdre la garde exclusive de son fils et qu’il s’en est pris à son ex-femme en devenant violent envers elle, il fallait absolument je retrouve ce petit gars avant que je son père devient violent envers lui ce type est dangereux d’après la mère du petit garçon. Sa fait presque trois heure et demi que je suis dans son dossier, je décide de faire une petite pause histoire de reposé un peut mes yeux et de me chercher un café parce que je pense que la nuit risque d’être longue.

Je regarde l’heure et il était très tard, j’attrape ma tasse de café qui était dans le coin de mon bureau puis je quitte mon bureau pour aller en salle de pause pour me servir une tasse de café. Une fois mon café dans les mains je retourne dans mon bureau, sur le chemin je croise mon père qui avait fini et qui rentré à la maison retrouvé ma mère, on s’arrête tout les deux nous sommes face à face, un silence s’installe entre nous, nous échangions quelques regards, depuis quelque temps nos rapports était plutôt tendu surtout quand il essayer de me parler de Victoria et qui me demandé d’arranger les avec elle, mais moi je n’ai pas envie c’est pas moi qui a foutu notre histoire en l’air pour la drogue, ce n’est pas moi qui me suis foutu de sa gueule après la nuit que nous avons passé. En ce qui concerne Victoria je ne voulais plus rien savoir d’elle, elle fait sa vie et moi la mienne ce qui nous lie maintenant c’est le boulot est rien d’autre.

Mon père s’approche de moi et pose une main sur l’une de mes joues et la tapote doucement et me fessais comprendre que malgré nos rapports actuellement je rester son fils et lui mon père puis quitta la pièce, je le regarde partir et souffle un bon coup puis repart dans mon bureau. A peine installé et après avoir bu une gorgé de mon café, une personne toqua à la porte de mon bureau je lève les yeux pour voir qui était cette personne. Mon visage changea d’expression a la vue de cette personne. Victoria m’avait demandé timidement si elle pouvait rentrer dans mon bureau après m’avoir demandé si elle ne me déranger pas. Qu’es que tu veux Victoria ? Demandai-je à la jeune femme en ferment le dossier que j’avais devant mes yeux puis pose mes yeux sur ceux de la jeune femme.

Je me demandais si je ne faisais pas une grosse connerie. Mais bon il fallait que la vérité éclate. Bien que la dernière fois ceci avait mal fini. Mais cette fois-ci peu importe la réaction d'Enzo, ça ne finira pas mal, car après tout je n'étais plus seule. J'avais ce petit être en moi qui poussait, qui était mon enfant. Je me mordis la lèvre m'installa en face d'Enzo et pris mon courage à deux mains. De toute façon je n'avais rien à perdre. Vu que ma vie recommençais comme avant plus ou moins seul.

Ecoute, je sais très bien que tu ne veux plus entendre parler de moi. J'ai jouée à la conne, j'ai foutue ma vie en l'air, ta vie en l'air, et surtout notre histoire. J'ai tout perdue au change, alors que toi tu as essayer de me sortir de cette merde. Mais j'en ai fait qu'a ma tête, et je comprends tout à fait que tu as décidé de me rayer de ta vie, surtout depuis cette nuit il y a trois mois.

Je le regardais, il tourna la tête au moment où je parlais de cette nuit que nous avions passer ensemble. Cette nuit où je supposes que mon enfant à été conçu. Bon cela restait quand même un mystère car James m'a avoué que le lendemain c'était avec lui que j'avais eut un rapport suite à une grosse soirée de défonce. Mais pour mettre un nom sur le père de mon bébé il fallait faire un test de paternité. James avait été d'accord, il ne me restait plus cas avoir l'accord d'Enzo. Mais cela ne se fera seulement à la naissance du bébé.

Enzo croit moi, je pourrait remonté le temps il y a pleins de trucs que je changerais. Comme ne pas retomber dans la drogue. De ne pas t'avoir cacher la perte de notre enfant et surtout de parler à ton père de nous. Je e tus un instant et rajouta plus bas. Bon ce dernier point c'est déjà fait. Je rajoutais ensuite dans la foulé espérant qu'il n'est pas retenue ma remarque. Mais ce soir si je suis là c'est que j'ai vraiment besoin de toi, de cet homme qui sait tout de moi. Car tu es celui qui j'espère sera toujours là malgré la rancœur que tu me porte.

Je le connaissais, il avait le coeur sur la main et je savais très bien que malgré tout ce qu'il c'était passer, il voudra savoir ce qu'il se passe de pourquoi, j'ai absolument besoin de lui. Car j'espérait dans le plus profond de mon âme que notre histoire n'était pas finie. Car il faut l'avouer malgré tout, et son caractère de merde, j'aimais Enzo Lowell plus que ma propre vie.

  Lorsque mes yeux se sont posés sur le visage de Victoria, je me suis tout suite demandée ce qu’elle me voulait, j’avais été claire la dernière fois qu’on c’est parler que je ne voulais en aucun cas avoir affaire avec elle mais sa trouve elle venait surement me parler d’une affaire qu’on doit enquêter ensemble. Quand il s’agit du boulot je peux faire un effort après tout je sais rester professionnel mais tout ce qui est le reste je voulais rien savoir. Notre histoire était terminée plus la peine t’en parler point finale. J’ai tout fait pour la sortir dans la merde qu’elle c’était fourré, j’ai tout donné pour sauver ce qui rester de notre histoire, j’avais été prêt à lui pardonner de tout ses secrets notamment celui de la perdre de notre enfant parce que malgré tout je l’aime cette fille. Mais merde cette fille me fait du mal et je l’aime plus que tout, je donnerais même ma vie pour elle mais je devais l’oublié je ne pouvais pas la pardonner pas après ce qu’elle m’a fait y a trois mois si nous en sommes la aujourd’hui c’est qu’elle en avait décidé et qu’elle à cacher une belle histoire qui aurai pu durer toute la vie qui c’est.

Je fais signe de la main à Victoria de s’asseoir en face de moi puis je croise les bras à l’entendre qu’elle me dise ce qu’elle voulait me dire. La jeune femme commence par le faite qu’elle savait que je ne voulais plus entendre parler d’elle puis elle m’avoue enfin qu’elle regretter tout ce qui s’est passé entre nous, je lui est tendu la main pour la sortir de tout ça et elle l’a refusé elle l’aurait fait peut être que notre histoire ne serait pas fini a l’heure actuel. Et lorsqu’elle commence à parler de cette fameuse nuit que nous avons passé ensemble y a trois mois, je tourner la tête je ne voulais plus entendre parler de cette nuit ou elle m’a planté et où elle ma mit plus bas que terre. Je me lève de ma chaise en m’approchant de la fenêtre en tournant le dos à la jeune femme.

Très vite je sentie son rapprochement, je pouvais reconnaitre son parfum n’importe d’où, malgré la rancœur que j’avais envers elle cette fille me rend dingue, faut que je me l’avoue cette fille je l’ai dans la peau et que je le veuille ou non Victoria est la femme de ma vie. La jeune femme prend le risque de posé une main sur mon épaule pour que lui fasse face, je me retourne donc vers la jeune femme en gardent tout même mes distances envers elle en acceptent d’entendre la suite de ce qu’elle avait à me dire. Victoria continue donc dans sa lancé en m’avouant que si elle pouvait remonter le temps elle ferrait en changeant certains choses dans sa vie mais malheureusement elle ne le pouvait pas. Je fonce les sourcils en essayent de comprendre ce qu’elle avait murmuré tout bas mais elle avait parlé bien trop bas pour que je comprenne quoi ce soit. Puis la jeune femme m’avoue par la suite qu’elle était venue me voir c’est qu’elle avait plus que tout besoin, besoin du Enzo qu’elle a toujours connu, celui en qui elle est tombé amoureuse, celui qui prend soin d’elle, celui qui est toujours à ses coter pas le Enzo que je suis devenu aujourd’hui.

Je dois avouer lorsqu’elle m’a avoué qu’elle avait besoin de moi, la première chose que je voulais faire c’était l’envoyé se faire baladé, lui dire qu’elle devais ce débrouiller toute seule mais au fond je ne pouvais pas lui faire ça parce que je m’en voudrais tout ma vie de ne pas l’avoir aidé et en connaissant Victoria si elle avait demandé mon aide c’est ce que c’était très important. Je lâche un soupire de toute la pression que me donné pour éviter Victoria, j’étais d’accord pour faire une trêve au moins pour ce soir. Je veux bien d’aidé, faut que tu me dises ce qu’il t’arrive Vic. Dis-je à l’encontre de la jeune femme.
   

Je savais qu'il allait dire oui, qu'il allait accepter du moins déjà écouter ce que j'avais à lui dire. Je pris appui sur son bureau car un vertige s'empara de moi. Je fermais les yeux un instant et lui dit. Ce que je vais te dire ne te plaira surement pas. Mais je ne peux pas gâcher cette chance qui s'offre à moi. Cette chance qui m'empêche chaque soir de toucher un seul cacheton de drogue. Je me mordis la lèvre, car il est vrai que la tentation était présente toute les nuits mais la vie de mon enfant en dépendait.

Enzo je veux juste que tu me promettes que tu ne vas pas t'énervée. Bon je sais que te dire ça ne changera rien, mais j'ai vraiment besoin d'un soutien et d'un calme irréprochable. Il me regarda avec insistance. Je me rapprochais de lui, je prenais le risque de prendre sa main et lâcha la bombe. Bien que tout ceci risquerait encore de tout changer à nouveau.

Voilà trois mois on passer depuis cette nuit où toi et moi avons coucher ensemble. LE lendemain, je me sentais tellement mal, ne savant plus quoi faire, alors comme souvent j'ai passer ma soirée à boire, et à prendre de la drogue, je n'en ai plus aucun souvenir d'ailleurs. Et c'est surement ça qui à fait que je suis venue voir ton père pour qu'il m'aide comme il l'avais fait. Il m'a mis en surveillance permanence, venait me chercher chez moi, me ramenait, et surveillait également toute mes test anti-drogue.

Je me tus un instant et rajouta. Je dois encore la vie à ton père d'avoir été là pour moi. De m'avoir éloigné de James. Je vis son regard se fermer à l'énonciation du prénom de mon ex dealer et un peu plus. Je continuais malgré tout mon monologue. Mais voilà il y a un mois je ne me sentais vraiment pas bien, je pensais que c'était l'effet du manque, mais à vrai dire il y a plus. Et c'est là que tout se corse. Que tout change et à partir de là que j'ai besoin de toi.

Je serrais sa main, me retenant de pleurer comme je faisais souvent ces derniers temps. J'ai été voir tes parents y'a deux semaines, j'ai tout dis tout avouez sans la moindre exception, note histoire, le bébé et cette nuit il y a trois mois. Je me mordis la lèvre. Ils ne comprenaient pas pourquoi je leurs racontaient tout ça. Mais je me devais d'être franche et j'avais besoin de l'avis de ceux qui compte pour toi et de celui qui est un modèle pour moi.

Je n'arrivais pas à sortir la suite c'était trop dur. Je me repassais dans ma tête notre histoire, les résultat de ma prise de sang me révélant que j'étais enceinte depuis trois mois. Mais ces derniers mots ne voulaient pas sortir. Surement avais-je trop peur de sa réaction ?

J’aurais pu l’envoyé boulé et lui dire qu’elle pouvait se débrouiller toute seule lorsqu’elle m’a demandé mon aide, surtout j’avais tout les droits de me comporter comme un connard envers elle après tout ce qu’elle m’a fait. Mais elle savait fond que je n’étais pas comme ça et que malgré la rancœur que je pouvais ressentir pour elle aujourd’hui j’allais quand même l’aidé enfin l’écouter commençons d’abord à écouter ce qu’elle à me dire et ensuite je verrais si j’ai vraiment envie de l’aidé, après tout j’étais pas obliger je n’étais plus son petit ami, elle avait son James non ? alors pourquoi venir me voir moi pour demander de l’aide. J’accepte donc finalement de l’écouté elle recommence donc à reprendre la parole en me confiant alors ce qu’elle devait me dire n’était pas facile à dire mais qu’elle devait pas cacher la chance de tout m’avouer.

En comprenant pas ou elle venait en venir je fonce les sourcils et je dois avouer qu’elle me fessait peur, j’espère qu’elle n’avait rien de grave ou qu’elle a fait rien de grave parce que oui j’ai peur pour elle quand on est amoureux c’est normal d’avoir peur pour la personne qu’on aime. Avant de continué son histoire elle me prend aussitôt la main, je pose mes yeux sur sa main sur la mienne, sa fait tellement longtemps qu’elle n’avait pas posé sa main sur la mienne, j’aurais pu retirer ma main de la sienne en refusant tout contact avec elle mais je laisser ma main dans la sienne sans broncher puis c’est à ce moment-là que la jeune femme me fait promette de ne pas m’énerver pour ce qu’elle aller m’annoncer parce qu’elle avait vraiment besoin de mon soutien et surtout de mon calme. Je ne pouvais pas lui promettre ce genre de chose en sachant pas ce qu’elle aller m’annoncer si c’était une bonne nouvelle ou une mauvaise nouvelle.

Je plonge donc mon regard dans le sien en lui fessent comprendre que j’attendais la suite de son histoire pour comprendre ce qui lui arrive. Après avoir souffler un bon coup la jeune femme repris son histoire ou elle c’était arrêter et m’avoues, y a trois mois juste après qu’on ait coucher ensemble elle et moi, elle s’est sentie perdu et qu’elle savait plus où elle était et qu’elle avait à nouveau plonger dans la drogue et l’alcool. Jusqu’à la elle ne m’apprenait rien de nouveau mais je fût surprise de la suite, elle avait demandé de l’aide à mon père pour la sortie de là je dois avouer quand elle ma avouer cela au fond de moi je me suis sentie à nouveau blesser qu’elle ait demandé de l’aide à mon père et pas à moi mais je dois remercier mon père de l’avoir sortie de la et de l’avoir éloigner de ce James.

Rien quand entendent son prénom je me mets directement en rogne je ne supporte pas ce type et ça Victoria la très bien vue à mon visage lorsqu’elle a prononcé son nom. Malgré tout la jeune femme continué la suite de son histoire et m’avoue que y a un mois elle s’est sentie pas bien du tout qu’elle pense que sa venait surement de la drogue qu’elle avait pris mais loin de là, la drogue n’y était pour rien et c’est là qu’elle me dit qu’elle avait vraiment besoin de moi plus que jamais. D’accord elle commence sérieusement à me faire flippé, es qu’elle a ? elle est malade ? et je commencer à redouter ce qu’elle allait m’annoncer par la suite.

Je n’en revenais pas ce qu’elle venait de me dire y a instant, si j’ai bien compris elle est allée voir mes parents pour tout leur raconté sur notre histoire, la perte de notre bébé et la nuit que nous avons passé ensemble y a trois moi. Je pensais qu’elle ne voulait rien dire à mon père en craignant sa réaction du faîte que nous avons vécu une histoire et qu’elle préférer garder notre histoire secrète. Je ne comprenais pas pourquoi elle avait tout avoué à mes parents, pourquoi elle voulait leur avis et surtout leur soutien, qu’es qu’elle me cache encore, mais la jeune femme s’arrête dans son élan alors qu’elle était au bout de son histoire et que j’allais savoir ce qui lui arriver, refusant de la voir aussi mal parce que oui la voir commence ça me rend aussi mal qu’elle, je me décide à l’aidé à me dévoiler ce qui lui fessais peur. Vic, dit moi ce que tu as ? Tu me fais peur. Dis-je en en levant son visage avec main libre vers mon visage.        

   

Enzo releva mon visage à l'aide de sa main libre. Je ne savais pas comment lui dire la suite. Devais-je être direct ou prendre des pincettes ? Je pris cependant mon courage à deux mains et lui dis. Voilà j'ai appris une nouvelle, une bonne enfin pour moi. Bien qu'il y a un gros soucis dans cette situation.

Je baissais mon regard et dis alors. La première personne à qui j'en ai parler c'est Dawn. Dawn était connue comme étant certes la soeur de James mais également mon indic, car elle voulait fuir elle aussi cette vie de droguée, et cela se passait très bien. C'est là qu'elle me révéla ce qui c'était passer la nuit avant que je ne contacte ton père cette nuit où j'ai tout oublié.

Je lâchais la main d'Enzo. Je m'assis sur son bureau et lui dis. Je vais arrêter de tourner autour du pot, car sinon jamais je n'arriverais à te dire ce que je dois te révéler. Je pris une grande respiration. Et lâcha. Voilà je suis enceinte de trois mois. Mais j'ignore si tu es le père ou si malheureusement c'est James. Car dans sa révélation Dawn m'a avouer que j'aurais eut un rapport avec son frère quand j'étais ce soir là au plus mal.

Je ne relevais pas mon regard continuant mon récit. Alors j'ai été voir James pour régler mes compte autant te dire que ça c'est très mal passer et qu'il est n'est pas heureux que sa soeur et moi l'ayons quittées. Mais j'ai du lui avouer, sans pour autant lui cacher que je t'avais revu. Du coup il demande un test de paternité à la naissance du bébé. Les larmes coulaient doucement. Cela me faisait un poids en moins. Je regardais Enzo et dit. Et j'aimerais que toi aussi tu le fasses, car je suis sûre au fond de moi que cet enfant est de toi et non de lui.

Je baissais de nouveau les yeux. Je savais que la colère allait prendre le dessus, ça pourrait mal finir, mais je serais forte, car après tout si je faisais ça c'était pour cet enfant, pour qu'il est un avenir et je voulais qu'il ai le meilleur avenir possible.

  Je détesté la voir aussi mal, même si je ressens de la rancœur pour elle mes sentiments pour elle était bien plus fort, j’aurai aimé la prendre dans mes bras et lui dire que tout va bien et que je suis là pour elle et que tout les deux on aller s’en sortir mais je ne fis rien parce que j’arrive pas lui pardonner du faîte qu’elle m’ait laissé en plan mais aussi qu’elle soit avec ce type ce James alors qu’elle disait qu’elle m’aimait. Cette fille a foutu ma vie l’air en espace de quelques mois et je m’étais promis que plus jamais je la laisserais foutre ma vie l’air encore une fois. Et pourtant je ne pouvais pas m’empêcher de vouloir l’aidé quand elle me le demande comme ce soir. Alors pour ce soir je redevenais le Enzo qu’elle a toujours connu calme et patient et surtout là pour elle mais pour combien parce que je ne sais pas pourquoi ce que Victoria allez me révéler allez pas du tout me plaire et que sa allez me mettre hors de moi surtout si ce James est dans le coup, je vois venir comme une grosse maison.

Je rassure autant que je le pouvais la jeune femme en plongeant mon regard dans le sien et ayant des gestes tendres à son égard, je voulais qu’elle continue son histoire jusqu’à la fin, après quelques regards échanger la jeune femme reprend à nouveau son histoire en me révèlent la première personne à qui elle s’est confié sur son secret, sa meilleure amie Dawn, je lève un sourcil Dawn je la porte pas trop dans mon cœur celle-là elle est comme son frère il se méfier ce genre de personne je m’en suis toujours méfier. D’après ses dires sa meilleure amie l’aurait aidé à éclaircir la nuit qu’elle aurait oublié vue qu’elle était probablement défoncée.

Ne comprenant toujours pas ou elle voulait en venir, la jeune femme m’annonce après quelques minutes d’attente qui sont devenue des minutes les plus long de ma vie, elle m’annonça alors qu’elle était enceinte et qu’elle ignoré qui était le père James ou moi parce qu’apparemment elle aurait aussi couché avec lui à cette fameuse nuit ou elle se souvenait de rien d’après les dires de sa meilleure amie Dawn qui lui aurait révéler qu’elle aurait couché avec son frère. Quant à moi j’étais abasourdie de ce que je venais d’apprendre, je n’en revenais pas, je passe une main sur mon visage toujours sur le choque de ce qu’elle venait de m’annoncer. Je recule de quelques pas de la jeune femme en réalisant qu’elle était enceinte, je ne rêver pas.

Une colère monte en moi rien cas entendre du faîte qu’elle ait couché avec ce type, mes points ce resserre, j’ai la gorge nouée, des larmes de rage menaces de coulé mais hors de question que je laisse ces larmes coulées devant elle, je tente de me calmer en essayent de continuer à écouter la suite de son histoire. Elle me confia alors qu’elle avait revu ce type en lui révèlent qu’elle était enceinte et qu’il lui avait demandé un test de paternité et que à mon tour elle me demande d’en faire un aussi parce que pour elle au fond elle était persuadée que c’était moi le père de son petit être qui grandis en elle. Comment peux-tu être persuadé que c’est moi le père du bébé, Tu as couché avec ce type Victoria. Dis-je en levant la voix qui était un peu cassé par l’émotion et la colère que je ressentais à cet instant. Imagine toi ce que je ressens a cet instant ? Dit je en posent mes mains sur la table tout en baissent ma tête. Moi qui pensais qu’elle ne pouvait pas me faire pire que ça et bien je me suis trompée, pourquoi elle veut tant me faire du mal , qu’es que je lui ai fait ?
     

Bon je dois avouée que je m'attendais à pire comme réaction. Mais dans l'ensemble c'était plutôt pas mal. Je répondis alors. Enfin couché avec ce type est un grand mot car bon je m'en souviens pas. Mais à sa tête je compris que j'avais dis quelque chose qui n'allait pas. Je me rapprochais de lui et lui dis. Enzo je ne sais pas pourquoi je suis sûre que c'est toi le père de cet enfant. C'est mon instinct qui me le dit. Je soupirais et rajoutais. Puis bon mieux vaut pas que ce soit James. A son regard je compris qu'il allait me sortir ce que tout flic me sortirais.

Avant que tu ne le dises c'est pas parce que tu es le mec bien, flic et qui serait bon père de famille qui me fait pensée ça. Ce qui me fait pensé que c'est toi le père de cet enfant, c'est parce que je ne vois pas du tout un avenir avec James. James n'est rien pour moi. Alors que toi...

Alors que lui si, je vois mon avenir avec lui, je l'ai toujours vu. Même pendant que j'ai mal agit mine de rien je n'espérait que me retrouver dans ses bras. Mais mon orgueil et mon sale caractère faisait que je rejetais toutes les mains qu'il me tendait. Je ne voulais pas qu'il croit que j'avais besoin de lui même dans les pires moments.

Je me rapprochais de lui, mon visage à quelque centimètre du sien et lui dit. Peut importe ce que tu penses de moi, de mon attitude. Je ne peux pas savoir ce que tu ressens, tout comme toi tu ne peux pas savoir. Mais sache une chose, c'est que malgré tout je n'ai jamais cesser de t'aimer. Je posais une main sur mon ventre et rajouta. Maintenant que tu sais tout. Je veux juste savoir si toi aussi tu es pour ce test de paternité à la naissance du bébé ou si tu préfère ne rien savoir ?


C'était un peu comme un ultimatum, mais si vraiment il en avait rien à faire,
il pourrait simplement m'envoyer bouler et seulement le test de James me dira la vérité, car si il est négatif, même si Enzo s'oppose au test, cela révélera que c'est lui le père de cet enfant.

J’étais peut-être le père de l’enfant que Victoria attend mais y avait aussi une possibilité que je ne sois pas le père, que ça soit ce James le père. Un mélange de joie m’envahie du faîte que j’avais une possibilité que j’allais devenir papa mais d’un autre coter j’avais ce sentiment de tristesse mélanger à de la colère en sachant qu’elle avait pu coucher avec lui, ça me fait un mal de chien rien que t’y pensés. Je ne comprenais pas comment elle pouvait être si convaincu que c’est moi le père après tout elle à coucher avec deux hommes ces trois derniers mois, l’un avec qui elle se souvient parfaitement et l’autre pas du tout. De ma colère je contredis la jeune femme du faîte qu’elle était persuadée que c’était moi le père, pour moi y avait une possibilité que James le soit et je n’arrive pas me sortir cette pensée de la tête c’était plus fort que moi.

Après être resté quelque minutes tête baissé, je lève mon visage vers la jeune femme pas convaincue ce que la jeune femme vient de me dire et je lui fessais bien comprendre au vu de mon expression de mon visage. Puis je me décolle en posent mes fesses sur le coin du bureau en posent une main sur mes yeux, c’est à ce moment-là que la jeune femme se décide de s’approcher à nouveau de moi en m’avouant une nouvelle fois que pour elle, elle était convaincue que c’était moi le père et non James et me confia par la suite qu’il ne fallait mieux pas que ça soit lui le père. Ouais elle avait raison il serait préférable que ça ne soit pas lui sinon pauvre gosse un camé comme père. La jeune femme m’arrête dans mon élan lorsque j’étais à deux doigts d’ouvrir la bouche et ajouta.

Que si elle était autant persuadée que c’était moi c’est parce que pour elle, elle ne voyait aucun avenir avec lui et qu’en revanche avec moi elle en voyait un c’est ce qu’elle essaye de me faire comprendre. Comment elle peut imaginer cela, que j’accepte d’élevé un enfant d’un autre, je ne pourrais pas le supporter sa serait au-dessus de mes forces. Mais d’un coter je dois penser que le bébé qui grandit en elle est surement le mien alors t’en ce cas je serais le plus heureux des hommes.

Le seul moyen de découvrir si c’est bien mon enfant c’est de faire ce test mais le problème c’est qu’il faut attendre la naissance du bébé, pour moi, tout ces mois aller être très long. La jeune femme approche son visage à quelques mètres du mien, mes yeux croisent ces magnifiques yeux puis mes yeux descend au niveau de sa bouche, mon dieu comme j’ai envie de l’embrasser et de la prendre dans mes bras, elle me manque à tel point et le faite qu’elle me dise qu’elle à jamais cesser de m’aimais me donne un coup au cœur, si elle savait combien je l’aime aussi mais quelque chose dans ma tête me disais de rester loin d’elle. Je lève les yeux à nouveau vers les sien. Je vais faire ce test, je veux savoir si ce bébé est le mien, et si c’est le cas j’assumerai ma paternité. Ajoutai-je à la jeune femme.
     

D'un côté j'étais soulagée qu'il accepte de faire ce test, ça éviterait surement des complications une fois l'arrivé du bébé. Je soupirais, souriais et lui dis. Merci Enzo, merci beaucoup. Je baissais cependant la tête le regardant dans les yeux et rajoutais. Cependant je ne te demande rien, si tu ne veux pas assumée je comprendrais, j’élèverais cet enfant seul si il faut ça peut se comprendre avec tout ce qu'il s'est passé. Je voulais juste te mettre au courant de ta possible paternité.

Bon le connaissant je savais qu'il assumerait contrairement à James qui lui était loin d'être heureux de cette nouvelle. Donc quoi qu'il arrivait j'étais prête à vivre seule avec mon enfant. Je vais te laisser, je ne vais pas te déranger plus longtemps, je supposes que tu as surement mieux à faire. Car après tout que savais-je de mon ex petit-ami.

Ca se trouve je chamboule sa vie. Il a peut-être rencontré quelqu'un depuis ce temps. Je le regardais et rajoutais. J'espère juste que je ne chamboule pas des projets que tu as pu faire avec cette nouvelle, car ce n'était pas mon intention. Mon téléphone sonna. c'était Dawn qui me disait que James était chez nous. Je fronçais les sourcils pas rassurée, elle me disais qu'elle s'en occupait mais que je ferais mieux de restée où j'étais.

Il faut vraiment que j'envisage de trouvé un nouveau logement et ne rien dire à James pour ma sécurité et celle du bébé, car si une chose que je n'avais pas avouée a qui que ce soit, c'est la violence verbale et gestuelle de James à notre égards à Dawn et moi depuis que nous avions décidée de le laissé tomber. J'avais oublié où j'étais un instant, je me forçais donc à sourire et dis à Enzo.
Je te souhaite une bonne soirée et merci de ton écoute.

Je sortie de son bureau me dirigeant dans le mien. Je m'installais et attendis donc l'appelle de ma meilleure amie pour enfin rentrée chez moi. Je profiterais donc de tout ce temps pour finalisé le plus de dossier possible.

     J’avais finalement accepté de faire ce test de paternité, je ne le fessais pas pour elle mais pour moi je voulais savoir si oui ou non j’allais être papa et que quoi il arrive si le bébé est le mien j’en assumerai, il est hors de question que mon fils ou ma fille grandisse sans son père et moi je veux le ou la voir grandir même si je suis plus avec Victoria, notre principal occupation c’est le bébé, même si on doit réglés nos problèmes qui y a entre nous deux depuis qu’elle retouché à la drogue. La jeune femme me remercie de bien vouloir faire ce test et qu’elle me demandé rien d’autre si ou cas où je ne voudrais rien assumé. Tu crois vraiment que je vais te laisser tomber avec le bébé, il est hors de question, et puis si c’est le mien y a deux qu’ils seront heureux depuis le temps qu'ils attend ça. Dis-je en regardent la jeune femme avec un faible sourire, le premier de la soirée et surement très longtemps pour la jeune femme.

Puis la jeune femme m’annonça qu’elle allez me laisser et me confia qu’avec cette nouvelle elle n’avait pas chamboulé mes projets, je fonce les sourcils en essayent de comprendre ce qu’elle voulait en venir, mais je comprends très vite ou elle voulait en venir, elle pensée que j’avais une autre personne dans ma vie, j’aurai pu, j’en ai le droit après tout nous sommes plus ensemble, mais non je ne suis avec personne ma rupture avec Victoria est trop récent pour que j’envisage soit ce soit avec une autre personne et puis je ne vois pas une autre fille prendre sa place. Ne T’inquiète pas pour ça, tu chamboule rien du tout, juste du faîte que je vais surement devenir papa. Dis-je à l’encontre de la jeune femme pour l’assuré qui n’y avait personne dans ma vie.

Puis un coup de téléphone mit fin à notre conversation je laisse la jeune femme décrochée tout en la regardent, en regardent son visage se décomposé dû à cet appel qu’elle avait reçu, je fonce à nouveau les sourcils en me demandent qui était bien au bout du fil avec Vic, et qu’es qui a fait tant chamboulé la jeune femme pour qu’elle me dise au revoir rapidement en quittant aussi vite mon bureau. Après son départ je me remets dans mon dossier mais j’arrivais à être dedans, ma conversation avec Vic ma retourné et puis je me posé des questions sur son départ précipité.

Je me décide donc d’aller la voir, pour m’assurer que tout aller bien, qui y avait aucun problème et j’espère qu’elle me dira la vérité cette fois. Je sors donc de mon bureau pour me diriger vers le sien, arriver à l’entrée de son bureau, je la vois plonger dans un dossier, Devais-je lui demandé qui était au téléphone ? Prendre le risque qu’elle m’envoie boulet eh bien oui j’allais prendre ce risque. Tout va bien ? Quand tu es partie de mon bureau tu avais l’air chamboulé. Dis-je finalement en sortant la jeune femme de son dossier.
 
     

J'avais vraiment été idiote d'avoir tout gâcher avec Enzo il était vraiment l'homme idéel, le petit ami parfait et il serait surement et j'en doutes pas un pèe parfait. Le coup de fil de Dawn me fit quittée le bureau d'Enzo rapidement, j'étais retourné dans le mien. J'avais envie de crier et pleurer car James nous rendait la vie impossible à sa soeur et moi. Mais non je préférais me plongée dans mes dossiers histoire d'oublier tout ça.

Je repensais au dernière paroles d'Enzo je souriais en pensant à Jake et LAura,
c'est vrai que le temps passait et ils ne rêvaient que d'une choses avoir des petits enfants. la voix d'Enzo me sortie de mes pensées, il me demanda si j'allais bien car j'avais l'air chamboulée en partant de son bureau. Je souris faiblement et lui dis.

Je vais bien merci, c'était Dawn au téléphone. Je soupirais. James est chez nous, et apparemment pas dans le meilleur de ses états, du coup quand c'est comme ça, elle me préviens et je reste où je suis jusqu'à ce qu'il parte. Je me mis à rire jaune et rajouta. Il va surement falloir que je déménage si je veux avoir la paix, de même pour Dawn, car tant qu'il sera où nous trouver aucune de nous n'aura la paix. Je regardais mon téléphone toujours pas de nouvelles. Il se faisait de plus en plus tard, et cela ne me rassurais pas. Bien que je sais que James ne fera pas de mal à sa soeur, du moins rien qui mettrait sa vie en danger.

J'essayais de l'appelée mais aucune réponse. J'essayais de ne pas me faire de soucis, mais c'était plus fort que moi. Je pris ma tasse et vis qu'elle était vide.
de toute façon je devais me calmer sur le café mais bon ce soir j'allais en avoir besoin. Je me levais donc pour aller direction la salle de repos. Je me retrouvais face à Enzo et lui dis. Ne te fais aucun soucis tout va bien, et puis de toute façon, ça ne peut pas te faire grand chose c'est pas comme-ci Dawn ou moi étions importante pour toi. Je posais ma main sur sa joue et passa devant lui direction la cafetière. Enzo me suivit. La conversation était loin d'être finie le connaissant.

  Le faîte que Victoria soit sortie rapidement de mon bureau me laisse perplexe je dois bien l’avouer, je me posé mal de questions, en me demandent qui elle avait eu au téléphone ? James ? Dawn ou encore mon père on ne s’est jamais qui c’est. J’ai beau essayer de rester concentré sur mon dossier que j’avais sous mes yeux, j’avais l’image de Victoria quittant mon bureau très vite, quelque chose n’allais pas j’en était certain. Je me décide donc d’aller la voir pour en avoir le cœur net, je quitte donc mon bureau pour aller dans celui de Victoria. Arriver devant sa porte je vois qu’elle est plongée dans l’un de ses dossiers et malgré qu’elle tenté surement elle aussi de travailler je décide de l’interrompre pour poursuivre notre conversation.

Je lui avais demandé aussitôt si tout aller bien et lui fessait comprendre qu’elle m’avait inquiété lorsqu’elle avait quitté mon bureau aussi rapidement. La jeune femme me confia alors qu’elle aller bien et que c’était Dawn qu’elle a eu au téléphone, apparemment James serait chez elles actuellement et qu’il foutrait un peut son bordel vu qu’il n’était pas dans son état normal. Dawn avait suggéré à Victoria de rester au poste à l’entendent que James se calme et partent de chez eux. Et une nouvelle fois une colère s’empare de moi ce James je vais vraiment par finir d’avoir une conversation avec lui et sérieusement ce type ne me fait pas peur. On ne touche pas à celle que j’aime et surement à notre futur enfant.

La jeune femme me confia qu’elle n’avait pas le choix de déménager pour sa sécurité et celle du bébé pour pas que James l’es retrouve et tant qu’il les retrouvera elles n’auront pas la paix aucune d’elle. Viens chez moi. Dis-je sur un coup de tête surement, la jeune femme me regarde alors d’un air surpris de ce que venait de lui dire. Au moins pour la nuit. Dis-je en ajoutant par la suite, ça me rassurait qu’elle vienne chez moi, au moins je serais qu’elle est en sécurité avec moi. Pour ce qui pour Dawn je pouvais toujours la mettre en sécurité chez mes parents en leur expliquant la situation.

La jeune femme prit rapidement son téléphone et compose le numéro de téléphone de sa meilleure amie inquiète de ne pas avoir de ses nouvelles mais rien, personne ne décrocher je voyais sur son visage qu’elle était très inquiète. Par la suite elle prend sa tasse de café elle aller surement aller en salle de pause pour se prendre un café mais avant qu’elle s’arrête à ma hauteur et pose une main sur sa joue en me confiant que tout aller bien et pense que je m’en foutais de Dawn et d’elle puis elle quitta son bureau. Quant à moi je la suis sur son chemin, je ne pouvais pas la laisser penser cela alors que c’est totalement faux, je m’en fou pas d’elle loin de là. Ce que tu viens de dire est faux Victoria, malgré tout ce qui s’est passé entre nous deux, même si j’ai tenté de te haïr de tout mon être, même si je fessais en sorte de rien savoir de toi en t’ignorant comme je le pouvais. Malgré tout ça, je tien énormément à toi, c’est impossible de te sortir de ma tête et de ma vie. Tu comptes plus que tu peux l’imaginé. En avouant à la jeune femme.
     
     

Je me dirigeais donc vers la salle de repos pour prendre un café. Enzo m’avait demandé pourquoi j’étais partie comme ça de son bureau. Je n’avais pas mentir. A quoi bon, j’avais décidé de bannir le mot mensonges de ma vie, ces derniers ne créaient que des soucis. Bien évidemment jetais étonnée de sa proposition. Et de tout ce qu’il m’avait dit. Car après tout je ne méritais pas qu’il ressente encore quoi que ce soit à mon égard.

Je me retournais donc vers lui après avoir servis mon café et lui dis. Je crois que venir chez toi n’est pas une bonne idée. Je souriais faiblement et lui dis. Je veux dire pour notre bien a tout les deux. J’étais encore folle de lui malgré mon écart de conduite et du coup je préférais mettre de la distance car ce n’était pas bon pour lui, je n’étais pas une femme pour lui. Je l’avais trop fait souffrir encore aujourd’hui et ce serait mieux comme ça.

Je me rapprochais de lui et lui dis. C’est mieux pour toi, tu ne crois pas ? J’ai été affreuse et méchante avec toi, je t’ai tournée le dos alors que tu voulais juste m’aider. Je voulais sortir mais Enzo était devant la porte. Je savais que cette conversation serait loin d’être finit.